Opéra

Les Contes d'Hoffmann

Jacques Offenbach

Opéra Bastille

du 30 novembre au 27 décembre 2023

3h30 avec 2 entractes

Les Contes d'Hoffmann

Opéra Bastille - du 30 novembre au 27 décembre 2023

Synopsis

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Dans une taverne, le poète Hoffmann, qui vient d’entendre chanter la diva Stella, raconte avant de la rejoindre l’histoire des trois femmes qu’il a aimées : Olympia, Antonia et Giulietta, trois amours contrecarrées par un mauvais génie, Lindorf. Sa passion pour Stella connaîtra-t-elle le même sort ? Avec cet opéra fantastique qui puise dans l’imaginaire de l’écrivain Ernst Theodor Amadeus Hoffmann, Jacques Offenbach espère démontrer qu’il n’est pas qu’un compositeur d’œuvres légères. Même inachevée en raison de sa mort en 1880, la partition constitue un magnifique chant du cygne et regorge de pages célèbres comme la Barcarolle ou l’air de la Poupée. Robert Carsen, qui aime à représenter le théâtre dans le théâtre, plonge le spectateur dans l’univers d’un Opéra, de la scène aux coulisses, et questionne, par cette mise en abyme vertigineuse, les notions d’anti-héros et d’idéal féminin.

Durée : 3h30 avec 2 entractes

Langue : Français

Surtitrage : Français / Anglais

Voir les actes et les personnages

PERSONNAGES

Hoffmann : Poète et compositeur
La Muse, Nicklausse : Muse d’Hoffmann qui a pris apparence humaine
Le conseiller Lindorf : Politicien qui convoite la cantatrice Stella
Olympia : Poupée mécanique
Spalanzani : Inventeur excentrique, «père» d’Olympia
Coppélius : Camelot qui a fourni les yeux de la poupée
Cochenille : Assistant de Spalanzani
Antonia : Jeune chanteuse fiancée d’Hoffmann
Crespel : Violoniste, père d’Antonia
Le docteur Miracle : Charlatan maléfique
Frantz : Serviteur de Crespel
Giulietta : Courtisane vénitienne
Dapertutto : Magicien vénitien
Schlémil : Ancien amant de Giulietta
Pitichinaccio : Serviteur de Giulietta

Nathanaël, Hermann : Amis d’Hoffmann
Luther : Tenancier de la taverne

Première partie

Prologue
Le poète et compositeur Hoffmann est amoureux de la prima donna Stella. Quand le rideau se lève, celle-ci est en train d’interpréter son rôle favori : Donna Anna du Don Giovanni de Mozart. La Muse d’Hoffmann se fait fort de reconquérir l’artiste et de le protéger de toute obsession amoureuse dans le futur. Dans ce but, elle prend l’apparence de Nicklausse, l’ami d’Hoffmann.

Le conseiller Lindorf, lui aussi, veut séduire la diva. Tandis que le rideau tombe sur le finale du premier acte de Don Giovanni, Luther et ses serveurs se préparent en hâte à l’arrivée d’Hoffmann et de ses amis. Hoffmann entre, l’esprit manifestement troublé, mais on le persuade vite d’interpréter la légende du nain Kleinzach. Tout en chantant, il s’égare et se souvient de son premier amour. Lorsque trois de ses amis se vantent de leurs maîtresses, Hoffmann leur demande s’ils veulent entendre le récit de ses amours passées. Tous remplissent leurs verres et se préparent à écouter les contes d’Hoffmann.

Acte 1 : Olympia
Spalanzani espère que sa dernière invention, une poupée mécanique qu’il appelle Olympia, lui rapportera suffisamment d’argent pour rembourser ses récentes pertes financières. Hoffmann est tombé amoureux d’Olympia, qu’il n’a fait qu’entrevoir de loin. Nicklausse tente vainement d’éclairer Hoffmann sur la véritable nature d’Olympia, lorsque Coppélius apparaît. C’est lui qui a fourni les yeux de la poupée et il vient se faire payer par Spalanzani.

Il vend à Hoffmann une paire de lunettes magiques susceptibles d’embellir la réalité. Pour se débarrasser de Coppélius, Spalanzani lui remet un chèque sans provision. Les invités de Spalanzani arrivent. Olympia fait l’admiration de tous. Hoffmann est totalement séduit, et, demeuré seul avec elle, il lui déclare son amour. De retour, Coppélius jure de se venger de Spalanzani, qui l’a grugé. Hoffmann danse avec Olympia. Le mécanisme de la poupée s’emballe et elle entraîne Hoffmann dans une valse frénétique. Il tombe et brise ses lunettes. Cochenille, l’assistant de Spalanzani, fait irruption : Coppélius s’est vengé en détruisant Olympia. Hoffmann découvre que sa bien-aimée n’était qu’une poupée mécanique tandis que les invités rient aux éclats.

Deuxième partie

Acte 2 : Antonia
Antonia est en train de chanter une chanson qui parle d’amour perdu. Son père l’interrompt et lui arrache la promesse de ne plus jamais chanter : Antonia a hérité de sa mère, célèbre cantatrice, un mal fatal que précipite sa propre passion du chant. Avant de sortir, Crespel ordonne à son serviteur Frantz de ne laisser personne entrer dans la maison. Mais Frantz est sourd et accueille volontiers Hoffmann et Nicklausse lorsqu’ils se présentent. Hoffmann entonne une mélodie qu’il a autrefois composée pour Antonia. Lorsqu’elle apparaît, tous deux sentent leur passion se ranimer. Comme Antonia chante la chanson d’Hoffmann, elle est subitement prise d’un malaise. Crespel revient de manière inopinée et Antonia se précipite dans sa chambre. Hoffmann se cache.

Le docteur Miracle se présente. Crespel l’accuse d’avoir intentionnellement tué sa femme et de vouloir à présent assassiner sa fille. Désormais au courant de la fragilité d’Antonia, Hoffmann persuade la jeune fille d’abandonner ses espoirs de faire carrière. À peine a-t-il quitté les lieux que le docteur Miracle réapparaît. Il évoque pour Antonia la gloire qui l’attend sur la scène de l’Opéra. Lorsqu’elle entend la voix du fantôme de sa mère l’exhortant à chanter, elle ne peut résister. Crespel, Hoffmann et Nicklausse se précipitent mais il est trop tard : Antonia est déjà morte…  

Troisième partie

Acte 3 : Giulietta
La fête bat son plein chez la courtisane Giulietta. Hoffmann, dans une cynique chanson à boire, rejette l’amour, source de mélancolie. Dapertutto tente Giulietta avec un magnifique diamant qu’il promet de lui donner si elle lui obtient le reflet d’Hoffmann, comme elle lui a précédemment obtenu l’ombre de son amant du moment, Schlémil. Giulietta entreprend de séduire Hoffmann. Elle lui demande son reflet comme preuve d’amour. Hoffmann se laisse aisément convaincre. Schlémil trouve Hoffmann et Giulietta ensemble. Les deux hommes se battent en duel et Hoffmann tue son rival, pour apercevoir Giulietta partant avec son souteneur Pitichinaccio. Dapertutto joint son rire aux leurs.

Épilogue
La représentation de Don Giovanni se termine comme Hoffmann met un point final à ses trois contes. Le poète est à présent totalement ivre. Quand Stella arrive, triomphante, il peut à peine lui parler.
La diva sort au bras de Lindorf. La Muse réapparaît. Elle enjoint Hoffmann de raviver la flamme de son art, lui rappelant que les larmes sont souvent davantage source d’inspiration que l’amour.

Artistes

Opéra fantastique en un prologue, trois actes et un épilogue (1881)

D’après Jules Barbier, Michel Carré
En langue française

Équipe artistique

Distribution

Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris
France musique diffusera Les Contes d’Hoffmann le samedi 20 janvier dans Samedi à l’Opéra de Judith Chaine.

Galerie médias

[TRAILER] LES CONTES D'HOFFMANN de Jacques Offenbach
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Une minute pour comprendre l’intrigue

1:35 min

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Par Octave

Existe-t-il plus bel hommage à celui qui inventa le réalisme fantastique en littérature que d’en faire le personnage principal d’un opéra où toute vraisemblance est abolie et où l’imaginaire impose ses propres règles ? Dans l’oeuvre d’Offenbach, Hoffmann, présenté comme un poète et compositeur maudit, évoque ses souvenirs amoureux et nous conduit dans un univers où les frontières entre rêve et réalité sont poreuses. Le metteur en scène Robert Carsen se joue magistralement du théâtre dans le théâtre et, à travers un spectaculaire procédé de mise en abyme, nous dévoile les coulisses de l’opéra.  

© Guergana Damianova / OnP

Podcast Les Contes d'Hoffmann

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Dansez ! Chantez ! Histoires d'Opéra et de Ballet

05 min

Podcast Les Contes d'Hoffmann

Par Charlotte Landru-Chandès

Avec « Dansez ! Chantez ! 7 minutes à l’Opéra de Paris », nous vous proposons des incursions originales dans la programmation de la saison à la faveur d’émissions produites par France Musique et l’Opéra national de Paris.

Pour chacune des productions d’opéra et de ballet, Charlotte Landru-Chandès pour le lyrique et Jean-Baptiste Urbain pour la danse, vous introduisent, avant votre passage dans nos théâtres, aux œuvres et aux artistes que vous allez découvrir.

© Christophe Pelé / OnP

Les Contes d’Hoffmann : jeux de scènes pour figurants

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Rencontre avec Marie-Françoise Sombart, cheffe du service de la Figuration

07 min

Les Contes d’Hoffmann : jeux de scènes pour figurants

Par Irina Flament

À l’occasion de la reprise des Contes d’Hoffmann à l’Opéra Bastille, nous sommes allés à la rencontre de Marie-Françoise Sombart, cheffe du service de la Figuration*. Elle y dévoile les différents aspects de son métier et son travail avec les figurants, qu’elle mène en collaboration avec Gilles Maurige.

En quoi consiste votre métier ?

Je recrute les figurants pour les besoins de la mise en scène - au lyrique-, et m’occupe de leur sélection jusqu’aux états de paye. Je recherche les figurants en fonction des profils demandés, j’organise les auditions et assure tout le volet ressources humaines lié au recrutement (informations administratives, contrats de travail, feuilles de présence…).

Je suis en relation constante avec tous les services concernés, principalement la régie de la scène avec qui je travaille au quotidien - en répétition et lors des spectacles -, mais aussi avec la direction de la production, la direction des costumes, les services perruque-maquillage et habillement, le service de la paye…

Parmi ces recrutements, il y en a un spécifique : celui qui concerne les enfants. Ces dernières saisons, les metteurs en scène les ont beaucoup sollicités. Il est spécifique par son mode de recherche mais aussi par le type de dossier qui doit être déposé auprès d’une commission au cadre législatif très strict.

Pour mener toutes ces missions, je suis assistée de Gilles Maurige, régisseur de scène, qui partage son temps avec le service Figuration de Bastille.

La production de Robert Carsen des Contes d’Hoffmann est devenue une œuvre-phare du répertoire de l’Opéra national de Paris. Combien y-a-t-il de figurants ? S’agit-il de ce qu’on appelle une « grosse » production ?  

Les Contes d’Hoffmann a été créé en 2000. Vingt ans déjà !... De mémoire, à la figuration, la plus grosse production a été Guerre et Paix de Francesca Zambello, créée au printemps 2005, avec 90 figurants, danseurs, enfants… Les Contes d’Hoffmann rassemble 54 figurants. C’est tout de même une grosse production en termes d’effectifs. 

Les Contes d’Hoffmann, acte II
Les Contes d’Hoffmann, acte II © Julien Benhamou / OnP

Quelles qualités sont requises pour cette production en particulier ?

Robert Carsen souhaitait beaucoup de « dynamique » avec un important travail de mouvements de groupe. C’est pour cette raison qu’il a demandé à Philippe Giraudeau de « chorégraphier » ces mouvements. Idem pour les artistes des Chœurs. Mais dans ces mouvements de groupe, chacun doit également jouer le ou les rôle(s) qu’il(s) endosse(nt). Dans cette production, pour la figuration seule, il n’y pas moins d’une trentaine de rôles à tenir du début jusqu’à la fin, avec des changements de costumes parfois rapides.

Comment se sont déroulées les auditions pour Les Contes d’Hoffmann ?

Robert Carsen - comme cela arrive parfois - a souhaité refaire une audition en 2010, en raison de la captation télévisée. La distribution existante, les précisions du metteur en scène m’ont permis de comprendre quels profils étaient souhaités : des physiques et des âges diversifiés et des aptitudes à travailler en groupe.

Depuis cette deuxième audition, la distribution a évolué et des changements ont été faits dans l’esprit voulu par la mise en scène. Souvent d’ailleurs, le metteur en scène ne venant pas remonter sa production, c’est en étroite collaboration avec les assistants à la mise en scène que se fait ce travail.

Les Contes d’Hoffmann, épilogue
Les Contes d’Hoffmann, épilogue © Julien Benhamou / OnP

D’où viennent les figurants ? Y a-t-il un « vivier » ? Est-ce que tout le monde peut se présenter ?

Les figurants qui travaillent à l’Opéra national de Paris sont prioritairement des professionnels du monde du spectacle. Ils viennent du théâtre, de la danse ou du cirque. Ils ont suivi une formation qualifiante et diplômante dans leur spécialité (écoles de théâtre, conservatoires, école de cirque…) et sont aussi intermittents du spectacle.

Nous avons un fichier qui s’alimente avec chaque nouvel artiste intégré. En cela, on peut parler de vivier. Nous les sollicitons quand le profil recherché correspond aux besoins de la mise en scène. Mais nous travaillons toujours à intégrer de nouveaux artistes désireux de venir jouer sur une grande scène lyrique. Nous puisons alors dans les CV reçus et diffusons aussi des avis d’auditions dans des structures de formation spécialisées ou relais, comme Pôle Emploi Spectacle, quand nous avons des demandes de profils très spécifiques.

Les auditions sont fermées. Pour des raisons d’organisation d’une part : il y a eu par le passé un essai d’audition ouverte pour laquelle une queue interminable d’artistes s’est formée au 120 rue de Lyon. Tout le monde n’a pas pu être reçu parce que le metteur en scène ne réserve pas sa journée pour ça. Et d’autre part, pour des raisons artistiques. Le metteur en scène demande tels profils et mon rôle est de lui donner à choisir parmi plusieurs personnes relevant du profil demandé. Ce rôle de filtre est nécessaire à la qualité de l’audition.

Le travail du service de la Figuration a-t-il évolué au fil du temps ?

Je ne dirais pas que le travail a évolué. La mission demeure toujours la même : trouver l’artiste dans lequel le metteur en scène projette le rôle qu’il veut développer sur scène. Et permettre à cet artiste de faire ce pour quoi il a été engagé dans les meilleures conditions.

De nouveaux outils informatiques facilitent la pratique, permettant de rassembler les informations sur les artistes embauchés, ainsi la recherche par profil et mensurations. Mais on peut mesurer l’évolution de la figuration sur les créations.

Les demandes des metteurs en scène sont plus exigeantes. Dmitri Tcherniakov, par exemple, a une idée très précise des profils qu’il recherche. Et depuis qu’il met en scène à l’Opéra de Paris, il n’est pas rare d’avoir à organiser pour la même production, plusieurs auditions, jusqu’à qu’il trouve ce qu’il souhaite. Et c’est au final, très satisfaisant de trouver… enfin !

Autre exigence : celle de trouver les artistes qui apporteront un « plus » à la mise en scène, sans savoir ce qui fera ce « plus » ! Ce fut le cas avec Lady Macbeth de Mzensk, mis en scène par Krzysztof Warlikowski la saison dernière. Il souhaitait un numéro de cirque mais sans savoir précisément lequel et avec qui. Il a donc fallu auditionner beaucoup d’artistes circassiens, tout en imaginant la spécialité et les effets qui pouvaient convenir le mieux à la scène du mariage. Et ce sont une artiste pratiquant le hula hoop et un équilibriste sur canne qui ont finalement apporté l’effet tant recherché.

Enfin, d’autres profils de figurants sont apparus. Roméo Castellucci a souhaité travailler sur Moïse et Aaron en 2015 avec des artistes polyhandicapés. Et là, c’est tout un système d’organisation parallèle qu’il faut mettre en place pour les accompagner. Dmitri Tcherniakov a renouvelé la demande la saison dernière pour Les Troyens mais l’autonomie des personnes recrutées, amputées des jambes mais appareillées, a permis d’alléger le dispositif d’encadrement. Dans les deux cas, c’est la recherche qui a été très compliquée et de longue haleine !

*  Le service de la Figuration est rattaché à la Direction de la Scène     

  • [EXTRAIT] LES CONTES D'HOFFMANN by Jacques Offenbach - Air d'Olympia (Pretty Yende)
  • [EXTRAIT] LES CONTES D'HOFFMANN by Jacques Offenbach "Hélas, mon cœur s'égare encore"
  • [EXTRAIT] LES CONTES D'HOFFMANN by Jacques Offenbach - Légende de Kleinzack (Benjamin Bernheim)
  • [EXTRAIT] LES CONTES D'HOFFMANN by Jacques Offenbach (Christian Van Horn)
  • [EXTRAIT] LES CONTES D'HOFFMANN by Jacques Offenbach (Benjamin Bernheim)
  • Les Contes d'Hoffmann - C'est une chanson d'amour

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  • Les Contes d'Hoffmann - La légende de Kleinzach

  • Les Contes d'Hoffmann - Jacques Offenbach

La presse en parle

  • Un spectacle magnifié par la mise en scène magistrale de Robert Carsen.

    Olyrix, 2016
  • Les Contes d’Hoffmann, que l’on peut qualifier désormais de « Contes d’Hoffmann de Robert Carsen », vont rester un spectacle d’anthologie.

    Connaissance des Arts, 2023
  • Nouveau miracle, ces Contes – et notre siècle – ont enfin trouvé leur Hoffmann. Idéal : c’est le mot qui vient spontanément à l’esprit pour décrire l’incarnation de Benjamin Bernheim.

    Diapason, 2023
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Les Contes d'Hoffmann

La vraie-fausse histoire des Contes d'Hoffmann

Le pauvre Hoffmann enchaîne les déceptions amoureuses... Saurez-vous démêler le vrai du faux ? A vous de jouer !

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