Emma Birski / OnP

Opéra

Nouveau

Cendrillon

Jules Massenet

Opéra Bastille

du 26 mars au 28 avril 2022

Cendrillon

Opéra Bastille - du 26 mars au 28 avril 2022

Synopsis

Enchanter son époque. Telle pourrait avoir été la volonté de Jules Massenet en mettant en musique le récit de Charles Perrault. Avec Cendrillon, le compositeur livre une oeuvre parmi ses plus séduisantes, qui diffère des autres adaptations lyriques du conte. La malicieuse Lucette et les femmes qui l’entourent dictent à l’oeuvre sa tonalité, dont les nombreuses nuances valident les mots de Claude Debussy qui voyait en Massenet « l’historien musical de l’âme féminine ». En conférant à la fée le timbre irréel de colorature, en travestissant le rôle du prince chanté par une soprano, le compositeur nous offre un festival vocal porté par une orchestration panachée, oscillant entre finesse mozartienne, citations stylistiques baroques et grandes inflexions romantiques. Pour l’entrée au répertoire de l’Opéra de Paris de Cendrillon, Mariame Clément joue avec la féerie du mythe et réfléchit à la nature profonde des personnages, tout en les affranchissant de leurs étroits costumes et souliers.

Durée :

Langue : Français

Surtitrage : Français / Anglais

  • Ouverture

  • Première partie 70 min

  • Entracte 30 min

  • Deuxième partie 60 min

  • Fin

Voir les actes et les personnages

PERSONNAGES

Cendrillon (Lucette) : Fille de Pandolfe et belle-fille de Madame de La Haltière.
Madame de La Haltière : Belle-mère de Cendrillon, mère de Dorothée et Noémie
Le Prince Charmant
La Fée : Marraine de Cendrillon
Noémie : Demi-sœur de Cendrillon
Dorothée : Demi-sœur de Cendrillon
Pandolfe : Père de Cendrillon, veuf, marié en secondes noces à Madame de La Haltière
Le Roi

Acte I
Pandolfe, un roturier au caractère faible, regrette d'avoir quitté sa campagne pour épouser la comtesse de La Haltière, d'autant que sa fille Lucette est la laisséepour-compte de la famille recomposée qui l'appelle Cendrillon. L'ambitieuse comtesse ne songe qu'à préparer, à grand renfort d'artifices, ses deux filles Noémie et Dorothée pour paraître au bal du roi le soir même. Restée seule, Cendrillon songe avec regret au bal et range la maison avant de s'endormir dans l'âtre. Sa marraine la Fée paraît et commande à ses follets une robe couleur de ciel et un attelage complet. Lorsque Cendrillon se réveille, elle est métamorphosée et part au bal sur la promesse de le quitter avant minuit . Ses pantoufles enchantées la rendront inconnue à ses proches.

Acte II
Chez le roi, tout est prêt pour le bal mais ni courtisans, ni médecins, ni ministres ne parviennent à distraire de sa mélancolie le jeune prince Charmant qui ne rêve que d'amour. Alors que les danses se succèdent afin de lui permettre de choisir une épouse, Cendrillon paraît. Le coup de foudre est réciproque. Minuit arrache les amoureux l'un à l'autre.

Acte III
De retour chez elle, Cendrillon regrette d'avoir perdu une pantoufle dans sa fuite. Ses demi-sœurs et sa belle-mère rentrent peu après, furieuses que le bal ait été écourté par la disparition de l'inconnue qu'elles calomnient. Cendrillon est bouleversée. Bien que Pandolfe ait trouvé la force de chasser les trois harpies et lui promette de la ramener au pays, Cendrillon décide de s'enfuir seule jusqu'au Chêne des fées. Sous le Chêne sont rassemblés, autour de la Fée, follets et esprits qui se dispersent quand arrivent, par des chemins différents, Cendrillon et le prince Charmant. Chacun prie la Fée de lui rendre ce qu'il aime et entend l'autre sans le voir. La Fée les autorise à s'embrasser et les endort.

Acte IV
Plusieurs mois ont passé et Cendrillon sort d'un long sommeil entrecoupé de délire. Elle se demande si elle n'a pas tout rêvé, ce que lui confirme son père. Mais dans la rue, un appel la réconforte : c'est le héraut qui invite de la part du prince toutes lès jeunes filles du royaume à essayer la pantoufle perdue. Dans la cour d'honneur du château se pressent les jeunes filles. L'arrivée de Cendrillon rend la vie au Prince défaillant. Leur union bouleverse Pandolfe mais c'est Madame de La Haltière qui sait manifester la joie la plus tapageuse.


Artistes

Opéra en quatre actes et six tableaux (1899)
D’après Charles Perrault

Équipe artistique

Distribution

Orchestre et Choeurs de l’Opéra national de Paris

Cendrillon sera diffusé sur France Musique le 7 mai à 20h dans l'émission "Samedi à l'Opéra", présentée par Judith Chaine.

Galerie médias

  • La magie de Cendrillon

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  • Dessine-moi Cendrillon

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  • Cendrillon, entre vulnérabilité et émancipation

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  • Merveilleuse Cendrillon

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  • Podcast Cendrillon

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© Elisa Haberer / OnP

La magie de Cendrillon

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Rencontre avec Mariame Clément

5:05 min

La magie de Cendrillon

Par Solène Souriau

Cendrillon de Jules Massenet fait son entrée au répertoire de l’Opéra national de Paris dans une mise en scène confiée à Mariame Clément. Fidèle à l’univers féerique du conte originel de Charles Perrault, la metteuse en scène établit des liens avec la magie du tournant du XXe siècle, époque de création de la partition.    

Playlist

Dessine-moi Cendrillon

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Une minute pour comprendre l’intrigue

1:54 min

Dessine-moi Cendrillon

Par Octave

Enchanter son époque. Telle pourrait avoir été la volonté de Jules Massenet en mettant en musique le récit de Charles Perrault. Avec Cendrillon, le compositeur livre une oeuvre parmi ses plus séduisantes, qui diffère des autres adaptations lyriques du conte. La malicieuse Lucette et les femmes qui l’entourent dictent à l’oeuvre sa tonalité, dont les nombreuses nuances valident les mots de Claude Debussy qui voyait en Massenet « l’historien musical de l’âme féminine ». En conférant à la fée le timbre irréel de colorature, en travestissant le rôle du prince chanté par une soprano, le compositeur nous offre un festival vocal porté par une orchestration panachée, oscillant entre finesse mozartienne, citations stylistiques baroques et grandes inflexions romantiques. Pour l’entrée au répertoire de l’Opéra de Paris de Cendrillon, Mariame Clément joue avec la féerie du mythe et réfléchit à la nature profonde des personnages, tout en les affranchissant de leurs étroits costumes et souliers.  


Playlist

© Monika Rittershaus / OnP

Cendrillon, entre vulnérabilité et émancipation

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Entretien avec Tara Erraught

7:39 min

Cendrillon, entre vulnérabilité et émancipation

Par Aliénor Courtin

À l’occasion de la nouvelle production de Cendrillon par Mariame Clément, actuellement présentée à l’Opéra Bastille, le magazine Octave s’entretient avec Tara Erraught qui interprète le rôle-titre. Elle évoque la précision de la composition musicale qui met en avant toute l’humanité et la vulnérabilité des personnages. Elle explique que Lucette et le Prince, en apparence issus de mondes éloignés, partagent pourtant une même solitude et quête de liberté que l’on retrouve dans une tessiture vocale commune, le rôle du Prince étant également confié à une femme. 

© Collection Kharbine-Tapabor

Merveilleuse Cendrillon

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De Perrault à aujourd’hui

07 min

Merveilleuse Cendrillon

Par Natacha Rimasson-Fertin

Cendrillon de Massenet entre au répertoire de l’Opéra national de Paris et soulève cette éternelle question : pourquoi proposer au public d’aujourd’hui une nouvelle lecture d’un conte classique ? Comment raconter cette histoire autrement ? Une question essentielle cependant, car c’est bien la preuve que ces récits, tout anciens qu’ils soient, ont encore bien des choses à nous dire.

Du conte de Perrault au livret d’Henri Cain

Cendrillon paraît en 1697 dans les Histoires ou contes du temps passé. Avec des moralitéz, un volume de contes en prose assortis d’une épître dédicatoire « À Mademoiselle », autrement dit à Élisabeth Charlotte d’Orléans, nièce de Louis XIV. L’illustration de frontispice, en regard de la page de titre, représente trois personnages installés devant l’âtre, face à une fileuse d’un certain âge, et sous une pancarte portant les mots : « Contes de ma mère l’Oye ». Cette inscription accompagne une scène de contage à la veillée et évoque d’emblée une matière folklorique, ce que semble confirmer l’absence de nom d’auteur en page de titre. L’épître dédicatoire, en revanche, est signée d’un certain « P. Darmancour », qui se présente lui-même comme « un Enfant » : il s’agit de Pierre Perrault, dit Perrault Darmancour, fils de Charles Perrault et âgé de dix-neuf ans en 1697. Ce stratagème éditorial, abondamment commenté par des générations de critiques, permet à Charles Perrault de faire croire à une relative simplicité des récits qui suivent – puisque rédigés par « un Enfant » – alors même que l’épître sous-entend des lectures multiples lorsqu’elle évoque « une Morale très sensée, […] qui se découvre plus ou moins, selon le degré de pénétration de ceux qui les lisent ».

Dans le contexte de la querelle des Anciens et des Modernes, ces contes sont aussi pour Perrault un moyen de rivaliser avec La Fontaine, dont le troisième tome des Fables est publié en 1694, alors que ses Contes et nouvelles (1665-1671) se sont vu reprocher leur manque de morale. Aux récits volontiers grivois du célèbre fabuliste, Perrault oppose donc ses Contes, des « bagatelles » destinées à « instruire », sans se placer pour autant sous l’autorité d’un auteur de l’Antiquité.

En 1899, il existe deux traductions françaises de la version des frères Grimm, celle de Frank et Alsleben (1869) et celle de Charles Deulin (1878), mais c’est bien sur le texte de Perrault, mieux connu du public français et à la cruauté moins criante, que s’appuie Henri Cain, le librettiste de Massenet. Il fait une vraie place au père de Cendrillon, qu’il baptise Pandolfe, ce père que Perrault ne mentionne qu’à l’ouverture du conte pour ne plus s’en soucier du tout par la suite. Cain en profite pour redistribuer les rôles, s’écartant ainsi du conte-source. Un des changements majeurs est là : ce père que, chez Perrault, « sa femme […] gouvernait entièrement », est tout aussi soumis dans l’opéra de Massenet, mais au moins en est-il conscient, lui qui se décrit dans la deuxième scène de l’acte I comme « mari, re-mari, très marri », et plein de compassion pour sa fille, Lucette, avec qui il partage de longues et tendres scènes (Acte III, scène 3 ; Acte IV, scène 1). Massenet rééquilibre donc, par l’intermédiaire de son librettiste, les rapports entre les personnages en réintroduisant la figure paternelle, adoucissant ainsi le sort de Cendrillon. Les demi-sœurs, quant à elles, ne sont que superficialité et bêtise, soumises elles aussi à une mère tyrannique et calculatrice, bien décidée à ce que sa progéniture fasse non seulement bonne impression mais soit victorieuse au bal, comparé à un « champ de bataille ». 

Formes et usages du merveilleux

Massenet reste très fidèle à l’intrigue de Cendrillon, tout en l’adaptant aux moyens d’expression propres à l’opéra. Alors que le texte de Perrault, fidèle en cela au genre du conte, extériorise la cruauté de la marâtre et de ses filles, on ne voit pas, chez Massenet et Cain, Cendrillon « nettoy[er] la vaisselle et les montées », ni s’acquitter des autres corvées qui rythment son quotidien. Lors des préparatifs du bal, Mme de La Haltière fait venir des modistes et des coiffeurs, ce qui atténue l’humiliation de Cendrillon par ses sœurs. Seuls la longue plainte de Lucette (Acte I, scène 5), « Reste au foyer, petit grillon […] », et les reproches que se fait Pandolfe, nous font percevoir la souffrance résignée de la jeune fille.

Face au malheur de l’héroïne, l’action du conte obéit à une logique de réparation et de compensation, en jouant sur les contrastes : plus grande est la détresse et plus le triomphe final sera complet. À la cendre et aux haillons s’opposent la robe faite des rayons des astres et les mille feux du bal. Le merveilleux, incarné chez Perrault par la seule Fée marraine qui change la citrouille en carrosse, les souris et les lézards en chevaux et en laquais, est reporté chez Massenet sur la robe merveilleuse, faite de « rayons joyeux » dérobés aux « astres radieux » (Acte I, scène 6), et démultiplié grâce aux esprits et aux follets, auxquels s’ajoutent le mouvement des oiseaux et insectes et le scintillement des lucioles. La fonction consolatrice et réparatrice du conte, et sa fonction ludique, par l’émerveillement qu’il procure, se rejoignent ici, et on sait le rôle majeur qu’ont joué les éclairages lors de la création de cet opéra en 1899.

La « Fée électricité » a perdu de son pouvoir d’émerveillement, tant elle fait partie de notre quotidien, mais le conte de Cendrillon que racontent Massenet et Henri Cain n’en continue pas moins d’être porteur de réconfort et d’espoir. La pauvre orpheline trouve le bonheur en la personne du prince, mais le seul mérite de celui-ci n’est pas de la soustraire à sa condition misérable. Bien plus que le bon parti qu’il représente, c’est la rencontre de deux êtres, de deux âmes qui est au cœur du propos.

Le genre du conte n’a cessé d’être réactualisé et relu à l’aune des questions ou des débats propres à une époque et à une société données. On s’est ému récemment de savoir si la vision de la femme véhiculée par les contes n’était pas ringarde, machiste et donc nocive, entre autres à cause d’un baiser sorti tout droit de l’imagination de Walt Disney. C’est oublier, sous l’effet du mouvement #MeToo, que les contes aussi bien que leurs réécritures sont chacun ancrés dans une époque, dans des époques dont les valeurs ne sont plus toutes d’actualité. Plus toutes, justement. Car si le conte est aussi présent sur les écrans, sur les scènes de théâtre et d’opéra, des plus confidentielles aux plus prestigieuses, c’est parce qu’il nous parle encore aujourd’hui.

Le conte vit et le merveilleux évolue, selon les époques et les publics. Cendrillon, comme les autres contes, a connu bien des réemplois et des transpositions, tous médias confondus, jusqu’à une version rock restée célèbre. La magie des prouesses techniques s’est émoussée à l’heure de la généralisation des effets spéciaux, et c’est finalement à l’essentiel que nous ramène le conte, genre optimiste par excellence. Le motif de la pantoufle qui ne sied qu’à une seule jeune fille exprime, dans le langage symbolique du conte, l’affinité profonde et inouïe qui réside dans la rencontre amoureuse de deux êtres. Que cette magie opère sur tous sans exception, marâtre comprise, on peut en douter, mais après tout, croire à cette issue harmonieuse ne fait-il pas partie du pacte que le conte conclut avec son public ? Le réel est suspendu, le quotidien réenchanté tant que dure le conte, ce qui est particulièrement nécessaire aujourd’hui.

© Monika Rittershaus / OnP

Podcast Cendrillon

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"Dansez ! Chantez ! 7 minutes à l’Opéra de Paris" - en partenariat avec France Musique

Podcast Cendrillon

Par Charlotte Landru-Chandès

Avec « Dansez ! Chantez ! 7 minutes à l’Opéra de Paris », nous vous proposons des incursions originales dans la programmation de la saison à la faveur d’émissions produites par France Musique et l’Opéra national de Paris. Pour chacune des productions d’opéra et de ballet, Charlotte Landru-Chandès pour le lyrique et Jean-Baptiste Urbain pour la danse, vous introduisent, avant votre passage dans nos théâtres, aux œuvres et aux artistes que vous allez découvrir.    

  • [EXTRAIT] CENDRILLON by Jules Massenet (Tara Erraught)
  • [EXTRAIT] CENDRILLON by Jules Massenet (Lionel Lhote)
  • [EXTRAIT] CENDRILLON by Jules Massenet
  • [EXTRAIT] CENDRILLON by Jules Massenet (Anna Stephany)
  • Cendrillon (saison 21/22)- Acte 2 (Anna Stephany)

  • Cendrillon (saison 21/22)- Acte 4 (Lionel Lhote)

  • Cendrillon (saison 21/22)- Acte3 (Lionel Lhote Pandolfe, Marion Lebègue, Charlotte Bonnet)

  • Cendrillon (saison 21/22)- Acte 2 - Anna Stephany

  • Cendrillon (saison 21/22)- Acte 3 Lionel Lhote (Viens, Nous Quitterons Cette Ville)

  • Cendrillon (saison 21/22)- Acte 1 (Lionel Lhote)

  • Cendrillon (saison 21/22)- Acte 1

Accès et services

Opéra Bastille

Place de la Bastille

75012 Paris

Transports en commun

Métro Bastille (lignes 1, 5 et 8), Gare de Lyon (RER)

Bus 29, 69, 76, 86, 87, 91, N01, N02, N11, N16

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Parking

Q-Park Opéra Bastille 34, rue de Lyon 75012 Paris

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Dans les deux théâtres, des places à tarifs réduits sont vendues aux guichets à partir de 30 minutes avant la représentation :

  • Places à 35 € pour les moins de 28 ans, demandeurs d’emploi (avec justificatif de moins de trois mois) et seniors de plus de 65 ans non imposables (avec justificatif de non-imposition de l’année en cours)
  • Places à 70 € pour les seniors de plus de 65 ans

Retrouvez les univers de l’opéra et du ballet dans les boutiques de l’Opéra national de Paris. Vous pourrez vous y procurer les programmes des spectacles, des livres, des enregistrements, mais aussi une large gamme de papeterie, vêtements et accessoires de mode, des bijoux et objets décoratifs, ainsi que le miel de l’Opéra.

À l’Opéra Bastille
  • Ouverture une heure avant le début et jusqu’à la fin des représentations
  • Accessible depuis les espaces publics du théâtre
  • Renseignements 01 40 01 17 82

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