La Traviata - Opéra - Programmation Saison 19/20 - Opéra national de Paris

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    Opéra

    La Traviata

    Giuseppe Verdi

    Palais Garnier - du 12 septembre au 16 octobre 2019

    Charles Duprat / OnP

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La Traviata

Palais Garnier - du 12 septembre au 16 octobre 2019

Opéra

La Traviata

Giuseppe Verdi

Palais Garnier - du 12 septembre au 16 octobre 2019

3h05 avec 2 entractes

Langue : Italien

Surtitrage : Français / Anglais

  • Première : 12 septembre 2019

    Avant-première Jeunes : 9 septembre 2019

Certaines scènes peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes ainsi que des personnes non averties.

À propos

En quelques mots :

En ouvrant son opéra par un prélude pour cordes d’une économie de moyens inédite, Verdi affirmait en 1853 sa volonté de bousculer les conventions et les normes. Là n’est pas la moindre des radicalités de son oeuvre : sa « Traviata » met implacablement à nu la violence d’une société qui prône la jouissance matérielle et finit par sacrifier une innocente victime sur l’autel de la morale bourgeoise. Simon Stone aime travailler au corps à corps les pièces du répertoire pour les entraîner vers des territoires plus intimes. Ce metteur en scène, qui compte parmi les plus remarqués au théâtre aujourd’hui, fait ses débuts très attendus à l’Opéra national de Paris.

  • Ouverture
  • Première partie 35 mn
  • Entracte 25 mn
  • Deuxième partie 65 mn
  • Entracte 25 mn
  • Troisième partie 35 mn
  • Fin

La presse en parle

  • Costumes, lumières et vidéos magnifient la direction d’acteurs de Simon Stone

    Le Monde - Marie-Aude Roux
  • Benjamin Bernheim fait un sans-faute en Alfredo

    Le Figaro - Christian Merlin
  • Pretty Yende a littéralement explosé. La voix est belle, fruitée, lumineuse, la ligne pleine et incisive, d’une expressivité qui enthousiasme et émeut.

    Le Monde - Marie-Aude Roux
  • Pretty Yende investit le rôle-titre d’une voix colorée, délicate et riche de mille nuances

    Les Echos - Philippe Venturini
  • À la tête de la phalange symphonique de l’Opéra de Paris, le maestro Michele Mariotti offre une passionnante version, très richement contrastée.

    Le Monde - Marie-Aude Roux
  • Ludovic Tézier fait des merveilles dans le rôle du père, tessiture riche et légatos plus que parfaits, diction royale et chaleur veloutée du timbre

    Artistik Rezo - Hélène Kuttner
  • Une Traviata à l’aune des réseaux sociaux, magnifiquement portée par la soprano sud-africaine Pretty Yende et le ténor Benjamin Bernheim, tel est le pari audacieux mais réussi de Simon Stone.

    Publik'Art - Amaury Jacquet
  • Pretty Yende, dont la voix déploie au fil de la représentation une richesse mélodique impressionnante, de plus en plus brûlante et puissante, capable de contrastes saisissants

    Artistik Rezo - Hélène Kuttner

Représentations

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Audios

La Traviata (saison 19/20)- Acte III (Addio Del Passato)

La Traviata (saison 19/20)- Acte II (Di Provenza Il Mar Il Suol)

La Traviata (saison 19/20)- Acte II (Pura Siccome Un Angelo)

La Traviata (saison 19/20)- Acte I (Ah Si Da Un Anno)

Coulisses

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Dessine-moi La Traviata

01:10’

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Une minute pour comprendre l’intrigue

Par Octave

En ouvrant son opéra par un prélude pour cordes d’une économie de moyens inédite, Verdi affirmait en 1853 sa volonté de bousculer les conventions et les normes. Là n’est pas la moindre des radicalités de son oeuvre : sa « Traviata » met implacablement à nu la violence d’une société qui prône la jouissance matérielle et finit par sacrifier une innocente victime sur l’autel de la morale bourgeoise.

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