Julien Benhamou / OnP

Opéra

La Force du destin

Giuseppe Verdi

Opéra Bastille

du 12 au 30 décembre 2022

3h50 avec 2 entractes

La Force du destin

Opéra Bastille - du 12 au 30 décembre 2022

Synopsis

Lorsque le rideau se lève, Don Alvaro s’apprête à fuir avec Leonora. Hélas, les deux amants sont surpris par le père de la jeune femme. Alvaro jette ses pistolets à terre mais voilà qu’un coup de feu part et tue le père : le destin est impitoyable et se rit du sort des hommes. Grande fresque pleine de rebondissements et marquée par le thème de la malédiction, comme Rigoletto ou Le Trouvère, La Force du destin est aussi un ouvrage ancré dans son époque. En 1861, Verdi a accepté de devenir député pour servir ses idéaux politiques. Mais le Risorgimento bat de l’aile et le compositeur est en proie au doute. Cette mélancolie noire imprègne sa partition, irriguée par le motif du destin mais aussi par l’idée de la rédemption. Dans la mise en scène de Jean‑Claude Auvray, l’opéra devient le lieu où les rêves se brisent sur le mur de la réalité, mais d’où s’élève un fragile chant d’espoir d’une beauté envoûtante. 

Durée : 3h50 avec 2 entractes

Langue : Italien

Surtitrage : Français / Anglais

  • Ouverture

  • Première partie 80 min

  • Entracte 30 min

  • Deuxième partie 60 min

  • Entracte 20 min

  • Troisième partie 40 min

  • Fin

Voir les actes et les personnages

PERSONNAGES

Le marquis de Calatrava : Noble espagnol

Leonora di Vargas : Fille du marquis
Don Alvaro : Fils d’un noble espagnol et d’une princesse Inca
Don Carlo di Vargas : Frère de Leonora
Preziosilla : Une vivandière
Le Père Guardiano : Supérieur du couvent
Frère Melitone : Moine francisquain et aumônier aux armées
Trabuco : Muletier et vendeur ambulant
Curra : Camériste de Leonora

PREMIÈRE PARTIE – EN ESPAGNE

Chez le marquis de Calatrava, près de Séville…
Le dîner se termine dans la salle à manger du château. Le marquis prend congé de sa fille Leonora, et se retire. On entend un galop de chevaux… c’est Don Alvaro, fils d’un noble espagnol et de la dernière princesse des Incas. Leonora et Alvaro s’aiment. Le père de la jeune fille s’opposant à leur union, ils vont fuir ensemble. Le marquis les surprend. Alvaro refuse de se battre en duel avec lui. Il lui tend son pistolet, Leonora s’interpose. L’arme, en tombant, se décharge et blesse mortellement le marquis. Le vieillard tombe en maudissant sa fille. Alvaro et Leonora parviennent à s’enfuir.

« Sinfonia »

En fuyant, Alvaro a été blessé par un domestique. Leonora, elle, a trouvé refuge quelque temps chez une parente. Les deux amants sont séparés. Carlo, le fils du marquis, s’est lancé sur les traces des fugitifs.

Dix-huit mois plus tard. Une auberge dans le village d’Hornachuelos, à la tombée du jour…
Leonora, déguisée en jeune homme, est partie à la recherche d’Alvaro. Guidée par un muletier, Trabuco, elle arrive dans l’auberge pour y passer la nuit. Elle s’effraie en reconnaissant au milieu des clients de l’auberge son frère Carlo. Celui-ci la croit morte, il recherche Alvaro, en se faisant passer pour un étudiant. 

La vivandière Preziosilla fait son entrée. Elle annonce que la guerre a éclaté entre Italiens et Autrichiens. Elle recrute des soldats, en exaltant les plaisirs et avantages de la vie militaire. Elle prédit l’avenir à quelques-uns et ne se laisse pas abuser par la fausse apparence de Carlo, qui achète son silence. Mais celui-ci est très intrigué par « l’étrange voyageur » amené par Trabuco. 

Les prières d’un cortège de pèlerins, se rendant au jubilé, interrompent ses investigations. Leonora en profite pour s’enfuir après avoir entendu son frère raconter l’histoire survenue à l’un de ses amis, histoire qui est en réalité la sienne ! Elle apprend ainsi qu’Alvaro est en vie, et se croit abandonnée.

Devant le monastère de la « Madone des anges », en pleine nuit…
Leonora se présente à la porte du monastère. Après avoir imploré la vierge, elle demande la protection du Père Guardiano. Elle vient chercher refuge auprès de Dieu, dans la solitude où vivent ceux qui ont choisi de renoncer au monde. Après une longue hésitation, le Père Guardiano accepte de l’aider. Elle trouvera asile dans un lieu saint, situé près du couvent, mais où nul ne viendra troubler son isolement.

Dans l’église du couvent, à l’aube…
Tous les moines sont réunis. Le Père Guardiano leur explique qu’une âme perdue vient se repentir, et expier ses erreurs, à l’intérieur de l’ermitage sacré, dont on ne pourra s’approcher, sous peine de malédiction divine. Il donne sa bénédiction à Leonora. La cérémonie terminée, elle part dans la montagne, vers sa retraite…

DEUXIÈME PARTIE – EN ITALIE

Deux années ont passé. Aux abords du champ de bataille de Velletri, en pleine nuit, à l’intérieur d’un camp militaire…
Don Alvaro a pris du service dans l’armée, sous un faux nom. Il se lamente sur son sort misérable. Croyant Leonora morte, il espère être tué pendant la bataille, et pouvoir ainsi la rejoindre dans l’au-delà. Des joueurs se querellent. Alerté par leurs cris, Alvaro intervient et sauve la vie d’un officier attaqué par des tricheurs. Celui-ci n’est autre que Carlo, le frère de Leonora. Lui aussi, sert sous un nom d’emprunt. Tous deux se jurent une éternelle amitié. 

La bataille éclate. Alvaro, blessé grièvement, demande à Carlo, s’il venait à mourir, de brûler sans les lire, les lettres qu’il lui confie. Surpris par cette requête, et après hésitation, il finit par examiner les documents, et découvre, parmi ceux-ci, un portrait miniature de sa soeur. Il comprend alors la véritable identité de ce nouvel ami, et jure de venger enfin la mort de son père.

Quelques semaines plus tard.
Une patrouille inspecte les abords du camp. Alvaro est guéri. Carlo a fini par retrouver sa trace. Il se présente à lui sous son vrai nom et le provoque en duel. Des soldats accourent et les séparerent. Resté seul, Alvaro jette son épée et décide de se retirer dans un couvent. Il s’enfuit.

Le jour s’est levé sur la campagne…
Vivandières et soldats animent le campement, entraînés par Preziosilla et ses « amies »… Un marchand ambulant rachète à bas prix ce que les soldats ont pillé au cours des batailles. Un groupe de pauvres paysans vient mendier du pain. Des mères se lamentent sur le sort réservé à leurs fils, de jeunes recrues. Ces futurs soldats sont tout de suite réconfortés et motivés par Preziosilla. 

Les vivandières les entraînent dans une tarentelle endiablée, d’où surgit soudain un moine pris dans le tourbillon général. C’est le frère Melitone. Devenu aumônier aux armées, il veut essayer de prêcher la bonne parole, mais son sermon n’attire que les quolibets et il doit prendre la fuite. Preziosilla et ses partenaires installent un théâtre de fortune. Elles improvisent un spectacle pour les soldats. Elle exalte la guerre victorieuse, et les invite à chanter avec elle son fameux « Rataplan ».

TROISIÈME PARTIE – EN ESPAGNE

Cinq années se sont écoulées. C’est l’hiver. Dans la cour du monastère de Hornachuelos, le soir…
Alvaro, entré au couvent, est devenu le Père Raphaël. Pendant la distribution de la soupe populaire, de pauvres gens, morts de froid, vantent les mérites de ce mystérieux moine, provoquant la jalousie et la colère de Melitone, sous le regard amusé du Père Guardiano. Carlo, plus que jamais décidé à se venger, a découvert la retraite d’Alvaro. Au cours d’une scène dramatique, il parvient à obliger Alvaro à abandonner sa pieuse sérénité. Ils sortent pour se battre en duel.

Un ermitage près du couvent : un lieu abandonné et isolé…
Leonora, toujours torturée par ses souvenirs tragiques, implore du ciel la paix pour son âme. Le combat de Carlo et d’Alvaro l’oblige à regagner sa retraite. Carlo est frappé à mort. Il demande à son adversaire d’entendre son ultime confession. Alvaro, se jugeant désormais indigne d’exercer son ministère, court chercher « l’ermite ». 

Les deux amants, subitement mis en présence, sont saisis d’effroi. Chacun croyait l’autre mort. Leonora se précipite vers son frère agonisant. Celui-ci la frappe mortellement avant d’expirer. Leonora s’éteint doucement, implorant la miséricorde divine. Le Père Guardiano invite Alvaro à s’incliner devant la volonté de Dieu.

Artistes

Melodramma en quatre actes (1862)

Équipe artistique

Distribution

Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris
Coproduction avec le Gran Teatre del Liceu, Barcelone

Galerie médias

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Une minute pour comprendre l’intrigue

1:27 min

Dessine-moi La Force du destin

Par Matthieu Pajot

Lorsque le rideau se lève, Don Alvaro s’apprête à fuir avec Leonora. Hélas, les deux amants sont surpris par le père de la jeune femme. Alvaro jette ses pistolets à terre mais voilà qu’un coup de feu part et tue le père : le destin est impitoyable et se rit du sort des hommes. Grande fresque pleine de rebondissements et marquée par le thème de la malédiction, comme Rigoletto ou Le Trouvère, La Force du destin est aussi un ouvrage ancré dans son époque. En 1861, Verdi a accepté de devenir député pour servir ses idéaux politiques. Mais le Risorgimento bat de l’aile et le compositeur est en proie au doute. Cette mélancolie noire imprègne sa partition, irriguée par le motif du destin mais aussi par l’idée de la rédemption. Dans la mise en scène de Jean‑Claude Auvray, l’opéra devient le lieu où les rêves se brisent sur le mur de la réalité, mais d’où s’élève un fragile chant d’espoir d’une beauté envoûtante.   

© Andrea Messana / OnP

Verdi, témoin politique de son temps

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Mythe et réalités

06 min

Verdi, témoin politique de son temps

Par Charlotte Ginot-Slacik

Parler de Verdi, pour nous autres Italiens, c’est comme parler du père. Massimo Mila, 1951

Comment l’engagement politique de Verdi transparaît-il dans son œuvre ? Comment la vision du monde du compositeur s’enracine-t-elle dans une œuvre aussi sombre et fataliste que La Force du destin, ou dans cet opéra-monde qu’est Don Carlos. La musicologue Charlotte Ginot-Slacik s’est penchée sur la question, explorant ces chemins de traverse entre la musique et l’Histoire.  


Le personnage de Leonora, une « référence non seulement sentimentale mais de libération sociale, un catalyseur (…) une tradition théâtrale où la femme représente la rupture, la lutte, l’émancipation. » Ainsi le compositeur Luigi Nono évoque-t-il La Force du destin en 1975. Cette analyse marxiste traduit la réception politique de Verdi. Les mots de Nono s’accordent aux images de Luchino Visconti qui, de Senso (1954) au Guépard (1963), lient indéfectiblement le compositeur au processus du Risorgimento. Elle est renforcée par les analyses des musicologues Massimo XXe siècle. Autant de déclinaisons du politique où l’engagement de Verdi apparaît rétrospectivement comme un geste prémonitoire pour des artistes italiens investis dans la rénovation d’une société durablement éprouvée par le fascisme (1922-1944).
Et pourtant… Le politique selon Verdi échappe aux analyses linéaires rapides. Il est du politique dans Simon Boccanegra (1857-1881) par l’évocation de la figure idéale du monarque que constitue l’ancien corsaire devenu doge de Venise. Il est du politique encore dans l’évocation des entités nationales opprimées (le célèbre « Va pensiero » de Nabucco, « O signore dal tetto natio » dans I Lombardi), des Hébreux sous le joug égyptien aux Indiens révoltés contre les Espagnols… Il est du politique enfin dans l’évocation complexe des rapports entre l’Église et l’État de Don Carlos. Un tel ensemble suffit-il à justifier le « mythe Verdi » qui fit du compositeur le catalyseur des aspirations nationales ? Rien n’est moins évident.
Lorsque débute la genèse de La Force du destin, les sympathies patriotiques de Verdi ne sont plus un mystère. « Si j’avais pu, j’aurais aimé être comme toi un soldat bien ordinaire, mais je ne puis être qu’un tribun », écrit-il à son librettiste Piave en mars 1848, lors des grandes journées insurrectionnelles de Milan. Il s’est pourtant bien gardé de monter sur les barricades – là où Richard Wagner est condamné à mort par contumace pour sa participation au soulèvement de Dresde.
De 1848 à 1860, le compositeur n’a pas joué un rôle de premier plan dans la lente unification italienne, quoiqu’en dise le célèbre acrostiche Viva VERdI (Viva Vittorio Emanuele Re d’Italia). Plus qu’une identification de Verdi à l’unité du pays, ces mots traduisent d’abord l’idée qu’en Italie, l’opéra demeure l’art des aspirations nationales. Dès 1828, Heinrich Heine note que « Cette pauvre Italie asservie n’a pas le droit à la parole et ne peut faire connaître les sentiments de son cœur que par la musique. » L’association des scènes d’opéra au patriotisme n’est d’ailleurs pas propre à Verdi ; elle émerge dès l’époque de Rossini et de Bellini. Ainsi Norma (1831) décrit la lutte du peuple gaulois pour se débarrasser de l’envahisseur venu de Rome : « Ah, sous le joug indigne du Tibre, je frémis moi aussi et désire prendre les armes (…). Cachons notre indignation dans nos cœurs, de sorte que Rome la croie éteinte ! Le jour viendra, où elle se réveillera, plus terrible elle brûlera ». Et tandis que Bellini appelle à la révolte, Verdi compose à la même époque une cantate en l’honneur de l’empereur d’Autriche Ferdinand Ier…
En 1859 pourtant, le contexte politique a changé. Incarnée par la figure charismatique de Cavour, l’unité nationale voit enfin Verdi s’engager en politique. En juin, le compositeur a lancé une souscription destinée à soutenir les blessés de la guerre contre l’Autriche. « Les victoires remportées jusqu'à maintenant par nos valeureux frères ne l'ont pas été sans beaucoup de sang répandu, et donc pas sans causer la douleur suprême de milliers de familles ! À des moments pareils, tous ceux qui ont un cœur italien doivent supporter, en fonction de leurs propres moyens, la cause pour laquelle on se bat. » La guerre se termine sur un compromis : les Autrichiens conservent la Vénétie mais de nombreuses provinces de la péninsule peuvent se prononcer en faveur d’un rattachement au Piémont de Victor-Emmanuel. Verdi se désole : « Où est-elle donc cette indépendance de l’Italie qu’on nous avait promise ? Que signifiait la proclamation de Milan ? Que la Vénétie n’est pas l’Italie ? Un tel résultat après tant de victoires ! Tant de sang pour rien ! C’est à devenir fou ! ».
Fasciné par Camillo Paolo Filippo Benso, comte de Cavour, qu’il rencontre alors, il se laisse convaincre de s’engager auprès du nouveau gouvernement. Il est élu député et abandonne pour un temps la musique signant l’une de ses lettres : « Un député de l’Italie centrale qui pendant de nombreuses années a fait le couillon en écrivant des notes de musique… ». Le compositeur manifeste son désir d’écrire un hymne national italien et, l’année de la création de La Force du destin, livre un Inno delle nazioni, sur un texte du librettiste Arrigo Boito, qui célèbre la gloire retrouvée de l’Italie dans le concert des nations européennes.
Le 6 juin 1861, Cavour meurt à Turin ; le 26 octobre, le royaume d’Italie est proclamé. Le 10 novembre 1862, La Force du destin est créée à Saint-Pétersbourg. Verdi se détache du politique. Au reste, sa contribution à la vie nationale se résume à une proposition avortée de réorganisation des opéras et des conservatoires. « L’Italie est faite, reste à faire les Italiens » (Massimo d’Azeglio). En 1867, Don Carlos dresse un tableau désenchanté de l’exercice du pouvoir : les ambitions politiques de Philippe II se heurtent au dogmatisme religieux de son inquisiteur. Figure dévoratrice, capable de condamner à mort son propre fils, l’empereur apparaît dans le même temps comme un souverain accablé par la solitude du pouvoir.
Verdi, « père » de l’Italie moderne ? Par-delà le mythe rassurant érigé par le siècle suivant, son œuvre témoigne incontestablement des contradictions politiques d’une Italie en gestation.

© Julien Benhamou / OnP

« Un spectacle qui marque ! »

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La Force du destin vue par ses spectateurs

2:30 min

« Un spectacle qui marque ! »

Par Cyril Pesenti

La Force du destin est à l’affiche de l’Opéra national de Paris jusqu’au 9 juillet 2019. Pour l’occasion, Octave est allé à la rencontre du public de l’une des soirées dédiées à l’œuvre du compositeur italien Giuseppe Verdi. Retour sur les témoignages des spectateurs, accompagnés d’extraits du spectacle mis en scène par Jean-Claude Auvray.  

  • [EXTRAIT] LA FORZA DEL DESTINO by Verdi - "La Vergine degli Angeli" (Anna Pirozzi)
  • [EXTRAIT] LA FORZA DEL DESTINO, Verdi - Le minacce, i fieri accenti (Russell Thomas, Ludovic Tézier)
  • Les spectateurs de LA FORCE DU DESTIN réagissent au spectacle
  • [EXTRAIT] LA FORZA DEL DESTINO by Verdi - "Urna fatale del mio destino" (Ludovic Tézier)
  • [EXTRAIT] LA FORZA DEL DESTINO by Verdi - "Solenne in quest'ora" (Ludovic Tézier, Russell Thomas)
  • La Force du destin (saison 22/23) - Acte2 - Ludovic Tézier

  • La Force du destin (saison 22/23) - Acte1 - Sinfonia(début)

  • La Force du destin (saison 22/23) - Acte1 - Sinfonia(fin)

  • La Force du destin (saison 22/23) - Acte2 - Anna Pirozzi

  • La Force du destin (saison 22/23) - Acte2 - Anna Pirozzi, Ferruccio Furlanetto

  • La Force du destin (saison 22/23) - Acte2 - Anna Pirozzi

  • La Force du destin (saison 22/23) - Acte3 - Russell Thomas), Ludovic Tézier

  • La Force du destin (saison 22/23) - Acte3 - Russell Thomas

  • La Force du destin (saison 22/23) - Acte4 - Russell Thomas, Ludovic Tézier

  • La Force du destin (saison 22/23) - Acte4 - Anna Pirozzi

Accès et services

Opéra Bastille

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  • Places à 35 € pour les moins de 28 ans, demandeurs d’emploi (avec justificatif de moins de trois mois) et seniors de plus de 65 ans non imposables (avec justificatif de non-imposition de l’année en cours)
  • Places à 70 € pour les seniors de plus de 65 ans

Retrouvez les univers de l’opéra et du ballet dans les boutiques de l’Opéra national de Paris. Vous pourrez vous y procurer les programmes des spectacles, des livres, des enregistrements, mais aussi une large gamme de papeterie, vêtements et accessoires de mode, des bijoux et objets décoratifs, ainsi que le miel de l’Opéra.

À l’Opéra Bastille
  • Ouverture une heure avant le début et jusqu’à la fin des représentations
  • Accessible depuis les espaces publics du théâtre
  • Renseignements 01 40 01 17 82

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