L’Orchestre de l’Opéra national de Paris est l’un des orchestres les plus jeunes de France, tout en étant aussi l’un des plus vénérables puisque sa fondation remonte à la création par Louis XIV de l’Académie royale de Musique il y a plus de trois siècles. C’est pour cet orchestre que des compositeurs comme Lully, Rameau, Gluck, Rossini, Meyerbeer, Verdi, Wagner, Gounod, Massenet, Saint-Saëns, Ravel, Stravinsky, Roussel, Poulenc ou encore Messiaen ont écrit des chefs-d’œuvre. Ses 174 musiciens se produisent à la fois au Palais Garnier et à l’Opéra Bastille. Leur répertoire n’a cessé de s’élargir, et ils occupent aujourd’hui une place de tout premier plan dans la vie musicale française et internationale. En près de trente ans, ils ont travaillé avec de très grands chefs tels que Lorin Maazel, Georges Prêtre, Zubin Mehta, Christoph von Dohnányi, Claudio Abbado, Daniel Barenboim, Myung-Whun Chung, James Conlon, Pierre Boulez, Semyon Bychkov, Valery Gergiev, Philippe Jordan, Gustavo Dudamel…
Des moments d’exception auront marqué ce parcours : la création de la version intégrale de Lulu avec Pierre Boulez, celle de Saint François d’Assise d’Olivier Messiaen sous la direction de Seiji Ozawa, Le Chevalier à la rose dirigé par Karl Böhm ou encore, en 1996, Don Giovanni, la dernière production mozartienne de Sir Georg Solti… Autant d’expériences qui ont profondément renouvelé et approfondi la personnalité d’un orchestre nourri des partitions les plus délicates et les plus exigeantes au plan de l’interprétation. Cette personnalité s’exprime avec éloquence dans de nombreux enregistrements, qui ont valu à l’Orchestre de l’Opéra national de Paris d’être reconnu comme l’un des premiers orchestres au monde. Elle est aussi particulièrement mise en lumière lorsque ses musiciens se produisent en concert ou lors de tournées internationales. De tels concerts leur permettent de retrouver, dans une relation plus complice encore, celle du répertoire symphonique, certains des chefs qui les ont dirigés en fosse. Les musiciens cultivent aussi leur connivence au travers d’une saison de musique de chambre largement ouverte aux pages maîtresses des répertoires d’hier et d’aujourd’hui.
Directeur musical
Premiers violons solos
Seconds violons solos
Troisièmes violons solos
Premiers chefs d’attaque
Deuxièmes chefs d’attaque
Troisièmes chefs d’attaque
Violons tuttistes
Premiers altos solos
Deuxièmes altos solos
Troisièmes altos solos
Altos tuttistes
Premiers violoncelles solos
Deuxièmes violoncelles solos
Troisièmes violoncelles solos
Violoncelles tuttistes
Premières contrebasses solos
Deuxièmes contrebasses solos
Contrebasses tuttistes
Premières flûtes solos
Deuxièmes flûtes solos
Piccolos solos
Premiers hautbois solos
Deuxièmes hautbois solos
Cors anglais solos
Premières clarinettes solos
Deuxièmes clarinettes solos
Clarinettes basse solos
Premiers bassons solos
Deuxièmes bassons solos
Premiers cors solo
Deuxièmes cors solos
Troisièmes cors solos
Première trompette solo
Deuxièmes trompettes solos
Premiers trombones solos
Deuxièmes trombones solos
Trombones basses solos
Tubas solos
Timbaliers solos
Deuxièmes timbaliers solos
Premières percussions solos
Deuxièmes percussions solos
Claviers solos
Premières harpes solos
Deuxièmes harpes solos
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