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Play
Palais Garnier - du 28 septembre au 06 novembre 2021
Play
Alexander Ekman
Palais Garnier - du 28 septembre au 06 novembre 2021
2h05 avec 1 entracte
-
Première : 28 sept. 2021
À propos
En quelques mots :
Premier ballet du chorégraphe suédois Alexander Ekman pour les danseurs de l’Opéra, Play a été créé au Palais Garnier en décembre 2017. Le chorégraphe invite les interprètes sur un immense terrain de jeu où les émotions et l’imaginaire se libèrent. Sur une musique originale de Mikael Karlsson, les corps se transforment en silhouettes-cerfs ou plongent dans un champ de balles colorées. Spectacle à l’énergie communicative, Play mêle danse, théâtre, musique et chant dans un esprit festif, parfois burlesque, plein d’humour et non sans profondeur.
- Ouverture
- Première partie 45 mn
- Entracte 20 mn
- Deuxième partie 60 mn
- Fin
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Play
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Représentations
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Galeries
Vidéos
Coulisses
06:17’
Vidéo
Un espace d’improvisation
Simon Le Borgne répète Play
À l’occasion de la reprise de Play, une pièce créée par le chorégraphe suédois Alexander Ekman en 2017 à l’Opéra national de Paris, le magazine Octave s’entretient avec le danseur Simon Le Borgne. Ce dernier nous raconte la manière dont il s’empare de l’espace d’improvisation que le chorégraphe lui offre à plusieurs moments-clés du ballet. Il revient également sur le rôle de soliste qu’il incarne. Toujours en marge du groupe, son personnage alterne entre la jeunesse joueuse et l’âge adulte d’un « working man », et semble à tout instant en mesure de rendre aux danseurs et spectateurs leur âme d’enfant.
© Ann Ray / OnP
Article
Dans les coulisses de Play
Dernières répétitions
02’
The Buddies
Meute de Fnerfs
Pas de deux
The Off Lady
© Ann Ray / OnP
06:57’
Vidéo
Souvenirs de scène : Caroline Osmont
La danseuse raconte Play
Les retransmissions proposées par l’Opéra national de Paris vous permettent de voir ou revoir quelques-uns des spectacles qui ont marqué ces dernières saisons.
Pour les accompagner, Octave a souhaité donner la parole aux artistes qui ont participé à ces productions. Ils se sont prêtés au jeu et ont accepté de se filmer, chez eux, pour raconter leur expérience, partager leurs souvenirs des répétitions et représentations, et évoquer les défis techniques et artistiques de leur rôle. Ils évoquent également la façon dont ils poursuivent leur activité artistique, en attendant de retrouver la scène et le public.
© Marion Fayolle
Article
L'Opéra s'affiche : Play
Les illustrateurs donnent leur vision des spectacles de la saison 19/20
01’
En 2017, Alexander Ekman signait sa première création pour le Ballet de l’Opéra national de Paris. Il revient cette saison et invite les danseurs à se replonger dans l’univers de sa pièce. Ici le jeu est partout et tout le temps. Des objets-accessoires aux éléments de décors. Car jouer rend heureux, scande le chorégraphe, et qu’il ne faut jamais s’arrêter d’être un enfant. En studios Massenet et Balanchine, la photographe Anne Deniau s’est arrêtée sur quelques accessoires emblématiques de cette création tandis que le dramaturge Nicolas Doutey s’interroge sur ces nouvelles compositions visuelles.
« Disons qu’on est comme des scientifiques, qu’on élabore des expériences de jeu en laboratoire. » Voilà le laboratoire, salle Massenet, au sixième sous-sol de l’Opéra Bastille, le carnet et la bouteille d’eau sont des accessoires essentiels. Alexander y mène le travail depuis sa chaise, mais souvent aussi sur le plateau : le jeu donne envie de jouer, c’est un laboratoire où on a envie d’être dans le tube à essai.
Des ballons de différentes tailles et couleurs, des cordes à sauter, une cage sur roulettes. Si là celle-ci sert à ranger ceux-là, c’est qu’on est en coulisses : sur le plateau, tout est matière à jouer, avec ou sans ballons.
« Essayez de trouver l’honnêteté dans le jeu », dit souvent Alexander en répétition. On ne peut pas faire semblant de jouer : dans ces cas-là, on ne joue pas. C’est sans doute pour ça qu’il a souhaité se donner le temps de l’expérimentation et de la recherche avec les danseurs, pendant trois mois de répétition : pour trouver avec chacun cet endroit particulier du jeu. Il y a une maquette, il y a des structures, il y a des lignes, mais le jeu est chaque fois singulier.
Les mains sont sur le qui-vive, certaines le laissent sentir plus que d’autres, chacune a sa manière. Les pieds aussi, bien installés dans leurs baskets, comme des rampes de lancement. Quand on s’assied, dans Play, l’appel du jeu n’est jamais loin, on risque de bondir à tout instant.
Les quarante mille balles en plastique qui forment la « piscine » de la deuxième salle de répétition, la salle Balanchine, ont ceci d’attirant que, quel que soit le mouvement qu’on fait parmi elles, il y en a toujours quelques-unes qui se mettent à voler. Chaque appui a son contrepoint dans l’air.
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