Pour ses débuts à l’Opéra de Paris, Wajdi Mouawad nous conte la trajectoire d’Œdipe, cet homme qui s’ignore, dans un continuum d’images organiques, tantôt végétales, tantôt aériennes ou aquatiques.
Si la liaison entre Titus et Bérénice a inspiré les plus grands dramaturges français, c’est la figure de l’empereur romain, incarnation de la souveraineté absolue, qui occupe la place centrale de ce qui devait être le dernier opéra de Mozart.