Communiqué du 1 juillet 2022

L'OPÉRA DE PARIS À LA VILLETTE

22 juin 2022LES START-UPS OMNILIVE ET DATAVILLAGE REMPORTENT LES CHALLENGES LANCÉS PAR L’OPÉRA NATIONAL DE PARIS LORS DU SALON VIVA TECHNOLOGY 1 juillet 2022OPÉRA D'ÉTÉ 2022

Depuis 32 ans, le festival de cinéma en plein air de La Villette est un rendez-vous incontournable de l'été parisien. Sur l'écran gonflable de 600m², suspens, aventure, émotion, humour et convivialité sont au rendez-vous chaque soir, pour rêver, rire, pleurer ou frissonner à la belle étoile. Le Cinéma en plein air, c’est la rencontre, sur un site exceptionnel, d’une très grande diversité de publics autour du plaisir du cinéma.
Pour cette nouvelle édition, l'Opéra national de Paris sera présent pour la première fois le 21 juillet à 22h30 avec la diffusion du ballet Play d'Alexander Ekman enregistré au Palais Garnier, ainsi que chaque samedi et dimanche, en première partie de soirée, avec un court métrage issu de la collection de la 3e Scène, plateforme digitale de l'Opéra de Paris dédiée à la création.  


Play (21 juillet à 22h30)

© Ann Ray / OnP
Chorégraphie I Décors : Alexander Ekman
Musique : Mikael Karlsson
Costumes : Alexander Ekman, Xavier Ronze
Lumières : Tom Visser 
Avec : Chanteuse gospel Calesta "Callie" Day, Frédéric Vaysse-Knitter (Piano), Amanda Favier (Violons), Pauline Fritsch (Violons), Benoît Marin (Alto), Christian Wirth (Saxophone soprano), Géraud Etrillard (Saxophone alto), Adrien Lajoumard (Saxophone ténor), Pascal Bonnet Marimba (Saxophone baryton) et percussions Adelaïde Ferrière
À PROPOS DE LA PRODUCTION
Premier ballet du chorégraphe suédois Alexander Ekman pour les danseurs de l’Opéra, Play a été créé au Palais Garnier en décembre 2017. Le chorégraphe invite les interprètes sur un immense terrain de jeu où les émotions et l’imaginaire se libèrent. Sur une musique originale de Mikael Karlsson, les corps se transforment en silhouettescerfs ou plongent dans un champ de balles colorées. Spectacle à l’énergie communicative, Play mêle danse, théâtre, musique et chant dans un esprit festif, parfois burlesque, plein d’humour et non sans profondeur.

Réalisateur Tommy Pascal - Durée 1 heure 45 -  Une coproduction Opéra national de Paris et BelAir Média, avec la participation de France Télévisions, le soutien du CNC et de la Fondation Orange, mécène des retransmissions audiovisuelles de l’Opéra national de Paris. © Opéra national de Paris - BelAir Média - 2018   


À bout portés (Samedi 23 et dimanche 24 juillet)

© SILEX Films
Réalisation : Clémence Poésy (2016)
Musique originale : Joakim
Accompagnement et improvisation au piano : Claire Djourado
avec les élèves de l’École de Danse de l’Opéra national de Paris
Durée : 19' 19
À PROPOS DE LA PRODUCTION
Observant en gros plan les élèves de l’École de danse de l’Opéra national de Paris qui construisent jour après jour leur «devenir» de danseurs et danseuses, Clémence Poésy propose un regard inédit qui laisse hors-champ les corps au travail. En saisissant l’intimité des visages, elle révèle une part du mystère de la quête à laquelle se dédie cet apprentissage.

Breathing (Samedi 6 et dimanche 7 août)

Réalisation : Hiroshi Sugimoto (2016)
Musique : Ramon Humet
Chorégraphie : Martha Graham
Ré-imaginée par : Virginie Mécène
avec Aurélie Dupont, Directrice de la Danse de l'Opéra national de Paris
Durée : 7' 06
À PROPOS DE LA PRODUCTION
Hiroshi Sugimoto invite ici à une expérience sensorielle et spirituelle, avec une création filmée dans sa fondation d’art Odawara au Japon. Au lever du soleil, sur le toit de verre de la fondation, Aurélie Dupont interprète le solo Ekstasis, chorégraphié par Martha Graham et ré-imaginé par Virginie Mécène. Une danse suspendue, entre ciel et mer, où la performance évolue à mesure que le jour se lève.

Les Indes galantes (Samedi 30 et dimanche 31 juillet)

Réalisation : Clément Cogitore (2017)
Chorégraphie : Bitou Dembele, Igor Caruge et Brahim Rachiki
Durée : 5' 26
À PROPOS DE LA PRODUCTION
Clément Cogitore adapte une courte partie de ballet des Indes galantes de Jean-Philippe Rameau, avec le concours d’un groupe de danseurs de Krump et de trois chorégraphes. Le Krump est une danse née dans les ghettos de Los Angeles dans les années 90. Sa naissance résulte des émeutes et de la répression policière brutale qui ont suivi le passage à tabac de Rodney King. Au cœur de cette atmosphère coercitive, de jeunes danseurs s’approprièrent les violentes tensions alors à l’œuvre dans le corps physique, social et politique. Entre les représentations de danses tribales à Paris en 1723 qui inspirèrent l’air Les Sauvages à Jean-Philippe Rameau et les krumpers d’aujourd’hui, s’invente une adaptation cathartique de l’œuvre, portée par l’énergie furieuse de jeunes gens dansant au-dessus d’un volcan.

Ascension (Samedi 13 et dimanche 14 août)

© Jacob Sutton
Réalisation : Jacob Sutton (2015)
Musique : Jon Hopkins (Abandon Window )
Durée : 2'58
avec Hannah O’Neill et Germain Louvet
À PROPOS DE LA PRODUCTION
Parallèlement à ses projets artistiques personnels, le photographe et réalisateur Jacob Sutton travaille régulièrement pour des marques de mode et des magazines. En assistant aux répétitions d’un nouveau ballet de Benjamin Millepied avec Hannah O’Neill et Germain Louvet, l'idée lui est venue d'en explorer la chorégraphie et la musique, dans divers contextes.

Nephtali (Samedi 20 et dimanche 21 août)

Réalisation : Glen Keane (2015)
Musique : Arnaud Vernet Le Naun
Durée : 3'42
avec Marion Barbeau
À PROPOS DE LA PRODUCTION
Glen Keane, animateur légendaire de Disney a inventé des personnages comme Ariel, Tarzan, Pocahontas et la Bête, La danse a toujours inspiré son art qui tourne autour de la création de mouvements. Son film Nephtali, qui évoque les bénédictions de Jacob et le Psaume 42, est né de la comparaison entre la grâce d’une danseuse, Marion Barbeau, et celle d’une biche. Il représente le voyage d’une âme attirée par une puissance supérieure qui se libère après un combat. En mêlant film et dessin animé, Glen Keane et Marion Barbeau ont réussi à s’affranchir des contraintes de la gravité et à atteindre la liberté à laquelle le corps et l’esprit d’un danseur ne cessent d’aspirer.

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