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Laura Nidh / OnP

Laura Nidh / OnP

Concert et Récital

Concert-rencontre du 9 octobre

De la taverne à l’église

Studio Bastille

le 09 octobre 2025 à 13h00

Synopsis

À l’heure du déjeuner, des musiciens de l’Orchestre et des artistes des Chœurs de l’Opéra national de Paris vous proposent des concerts précédés d’introductions.


Chœurs de moines ou de chasseurs, chansons à boire et chants d’église : les œuvres polyphoniques composées pour voix d’hommes sont légion dans le répertoire musical.


S’y ajoutent naturellement les ensembles vocaux issus de l’opéra – duos, trios, quatuors... – écrits pour les personnages chantés par des basses, barytons et ténors, comme le montrent dans ce concert les extraits des opéras de Giacomo Puccini Turandot et La Fille du Far‑West, ainsi que Don Quichotte de Jules Massenet... Lire plus

EN SAVOIR PLUS SUR LES ŒUVRES

Traditionnellement, la chanson à boire est un genre spécifique- ment masculin. Le chant médiéval In taberna quando sumus (Quand nous sommes dans la taverne) en est le prototype. Il inspirera au xxe siècle la séquence « In taberna » des célèbres Carmina Burana de Carl Orff. C’est aussi de ce modèle du chœur de beuverie que relève la scène des étudiants, au premier acte des Contes d’Hoffmann de Jacques Offenbach, qui se déroule dans la taverne de Maître Luther.


Dans un tout autre registre, celui du répertoire religieux, la musique pour chœur d’hommes s’inscrit dans les traditions qui font de la voix masculine le médium idéal de la spiritualité. C’est le cas des polyphonies orthodoxes, comme l’illustre Otche nash (Notre Père) de Nikolai Kedrov, sans doute son œuvre la plus célèbre.


Mais certaines des pièces religieuses de ce programme sont originellement écrites pour chœur mixte : le Miserere de Gregorio Allegri, l’Ave verum de Wolfgang Amadeus Mozart et la séquence chorale qui donne son titre à la cantate BWV 147 de Bach : Jesu bleibet meine Freude (Jésus, que ma joie demeure).


Quant à l’hymne du compositeur britannique John Rutter The Lord bless you and keep you, il a été composé pour un chœur comprenant également des voix aiguës, mais dans la tradition très présente jusqu’aujourd’hui en Angleterre des « boys’ choirs ». Cette pièce profondément fervente se voit savoureusement précédée de l’air « It takes a woman » de la comédie musicale au succès international Hello Dolly de Jerry Herman, créée à Broadway en 1964.


Quant au chœur de Johannes Brahms intitulée Ich schwing mein Horn ins Jammertal (Je brandis mon cor dans la vallée de larmes), on peut aussi bien l’entendre comme l’écho d’un Moyen Âge rêvé que comme le chant solitaire d’un chasseur éperdu de mélancolie.

Hélène Pierrakos

Artistes

Déroulé du concert

Équipe artistique

Miserere

In taberna quando sumus

Carmina Burana

In taberna

Jesu bleibet meine Freude (cantate BWV 147)

Ave verum, KV 618

Ich schwing mein Horn ins Jammertal, op. 41

Otche nash

Les Contes d’Hoffmann

scène des étudiants

Don Quichotte

Duo des Moulins

Turandot

Trio des Ministres

La Fille du Far-West

Chanson et scène de Jack Wallace

Hello Dolly

It takes a woman

The Lord bless you and keep you

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