Kim Brandstrup Chorégraphe

Kim Brandstrup a étudié au Danemark et à la London Contemporary Dance School. 

Il a remporté le Prix national de la danse du Cercle des critiques en 2016 dans la catégorie Meilleure chorégraphie moderne pour La Nuit transfigurée, le Prix Olivier en 2010 de la Meilleure nouvelle production de danse pour Goldberg: The Rojo/Brandstrup Project et le Prix Olivier en 1990 de la Meilleure réalisation en danse pour Orfeo. 

Parmi ses engagements récents ou actuels, citons Minotaur (Théâtre Royal de Bath), Billy Budd (Teatro Real de Madrid et Royal Opera House de Londres), La Traviata et Médée (Théâtre des Champs-Élysées), Le Messie (Opéra national de Lyon), Life is A Dream (Rambert Dance Company), Pure Dance – In Absentia (Sadler’s Wells), Medea (Wexford Opera), Eugène Onéguine (Metropolitan Opera de New York), Between Worlds, La Mort à Venise, Les Noces de Figaro, Le Messie et Eugène Onéguine (English National Opera), Jeux (New York City Ballet), La Nuit transfigurée (Rambert Dance Company), Metamorphosis – Titian (co-chorégraphié avec Wayne McGregor, Royal Ballet de Londres), Rystet Spejl, Eidolon I et II, Ghosts (Ballet Royal du Danemark), Invitus, Invitam, Rushes et Goldberg (Royal Ballet de Londres), Guillaume Tell (Opéra national d’Amsterdam, Metropolitan Opera de New York), The Fairy Queen (Glyndebourne, Paris, New York), La Chute de la maison Usher, incorporant L’Après-midi et Jeux (Festival de Bregenz), Pulcinella (Royal Ballet de Birmingham), White Lead (Ballet Royal de Suède), un film avec les frères Quay pour célébrer le 400^e anniversaire de L’Orfeo de Monteverdi. 

Parmi ses nouvelles créations, citons La Dame de pique (Montréal), In Place of Stone (Ballet de Norvège), La Belle au bois dormant (Ballet Royal de Nouvelle-Zélande). Il a par ailleurs signé la mise en scène de L’Heure où nous ne savions rien l’un de l’autre (Malmö) et Les Sept Péchés capitaux (Opéra national de Grèce).

Débuts à l’Opéra national de Paris