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Un ballet plein de fantaisie : Marine Ganio et Jack Gasztowtt répètent La Fille mal gardée

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Un ballet plein de fantaisie : Marine Ganio et Jack Gasztowtt répètent La Fille mal gardée

Par Antony Desvaux

À l’occasion de la reprise de La Fille mal gardée à l’Opéra national de Paris, Marine Ganio et Jack Gasztowtt évoquent les rôles solistes de Lise et Colas qu’ils interprètent sur scène.

Les deux danseurs expliquent la nature à la fois humoristique et virtuose de ce ballet créé en 1789 par Jean Dauberval, remonté en 1960 par Frederick Ashton, et entré au répertoire de l’Opéra de Paris en 2002.

Marine Ganio aborde son travail en studio et l’importance de ne pas surjouer les éléments de farce qui sont au cœur de l’histoire. Jack Gasztowtt raconte quant à lui les répétitions du pas de deux avec un accessoire inhabituel, un long ruban qui s’enroule autour des danseurs. Les deux interprètes nous font part de ce que ce ruban symbolise pour eux.

La vengeance absolue - Entretien avec David McVicar

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La vengeance absolue - Entretien avec David McVicar

Par Isabelle Stibbe

Médée, l’unique tragédie lyrique de Marc-Antoine Charpentier, revient sur la scène de l’Opéra de Paris trois siècles après sa création.

À cette occasion, le metteur en scène David McVicar évoque la fonction des mythes et la fascination qu’exerce le personnage de Médée.

Dessine-moi The Exterminating Angel

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Dessine-moi The Exterminating Angel

Par Matthieu Pajot

Entretien avec le baryton Ludovic Tézier

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Entretien avec le baryton Ludovic Tézier

Par Marion Mirande

La vérité du sentiment verdien est éclatante dans Simon Boccanegra. L’amour du paysage maritime, la foi en une justice sociale, la perte de l’épouse et de l’enfant sont autant d’éléments biographiques vers lesquels converge l’opéra.

Entre douceur et âpreté, Ludovic Tézier interprète le rôle-titre et met à profit sa grande expérience de baryton au service de cette partition, parmi les plus fines et bouleversantes composées par Verdi. 

Dessine-moi Simon Boccanegra

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Dessine-moi Simon Boccanegra

Par Octave

Un mystérieux envoûtement : entretien avec Thomas Adès et Calixto Bieito

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Un mystérieux envoûtement : entretien avec Thomas Adès et Calixto Bieito

Par Marion Mirande

  « La liberté est un fantôme » disait Luis Buñuel, le réalisateur de L’Ange exterminateur. D’après le film et son surréaliste huis clos domestique, le compositeur Thomas Adès livre une œuvre d’une grande force dramatique à l’orchestration brillante, qui agit tel un sortilège sur les interprètes – eux-mêmes prisonniers d’une force énigmatique – comme sur les spectateurs.

Une matière théâtrale et lyrique dont s’empare Calixto Bieito, pour en souligner l’humanité dans ce qu’elle a de plus noir.  

© Elena Bauer / OnP

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Rencontre avec José Sciuto, Chef de service adjoint responsable artistique des Ateliers

Le navire de Simon Boccanegra

Par Cyril Pesenti

« La mer est un élément essentiel à l’opéra Simon Boccanegra. Dans la mise en scène de Calixto Bieito, cette mer s’est retirée, laissant derrière elle une immense coque de navire échouée sur la scène. La construction de ce décor a été le fruit d’un travail complexe et minutieux, impliquant la quasi-totalité des corps de métiers des ateliers – bureau d’études, serrurerie, menuiserie, atelier matériaux composites, peinture, sculpture, etc. Il s’agit d’un décor très « technologique » : pour le construire, un scan en trois dimensions de la maquette du bateau, réalisé par l’atelier sculpture, a permis au bureau d’études de concevoir la surface de la coque et sa structure intérieure. À partir de ces éléments, une quantité importante de pièces métalliques a été découpée au laser puis assemblée. Une trentaine de moules a été confectionnée pour la création des tôles de la coque. Ces tôles ont été conçues afin de pouvoir servir de surface de projection à la vidéo, chère au metteur en scène Calixto Bieito. »

© Elena Bauer / OnP

Et vogue l’esprit de Boccanegra

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Entretien avec Calixto Bieito

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Et vogue l’esprit de Boccanegra

Par Marion Mirande, Simon Hatab

D’une grande finesse musicale, Simon Boccanegra est un opéra qui nous fait naviguer dans l’univers du doge génois, un homme politique, anciennement corsaire, transcendé par sa relation avec sa fille. Après ses percutantes mises en scène de Lear d’Aribert Reimann et de Carmen de Georges Bizet, Calixto Bieito revient à l’Opéra de Paris et s’empare de cette œuvre mal connue de Verdi dont il propose une lecture aussi sensible qu’éclairante.

Simon Boccanegra est d’après la pièce éponyme du dramaturge romantique espagnol, Antonio García Gutiérrez. Que reste-t-il du drame chez Verdi ?

L’esthétique romantique fascinait Verdi, celle de Schiller particulièrement, et bien sûr celle ibérique. Dans les sujets abordés par le romantisme espagnol, il trouvait un écho à des situations qui lui étaient familières : l’amour du père pour son enfant, la confrontation avec la mort, la haine et les déchirements entre familles… Des thèmes qui résonnent fortement avec l’histoire passée et présente de l’Espagne. Selon moi, l’œuvre la plus emblématique de l’identité espagnole appartient à la période romantique : le tableau de Francisco Goya Le 2 mai 1808 à Madrid. J’y perçois l’expression de la nature latine, explosive et révoltée. On pourrait croire que les comportements survoltés dont on rend compte au théâtre ou dans les arts participent d’une mythologie et sont exagérés. Or ils ne le sont pas. Cette impétuosité est propre aux Espagnols comme on les rencontre dans les villages notamment, et comme c’est aussi le cas dans la culture italienne, où les émotions sont vécues très intensément, voire déraisonnablement.

Vous aviez précédemment qualifié l’opéra d’œuvre étrange… En quoi l’est-elle ?

Simon Boccanegra diffère sensiblement des autres opéras de Verdi comme Le Trouvère ou La Traviata. Sa musique est bien moins connue… Il s’est ici concentré sur les personnages et leur caractère. Il a cherché à souligner la profondeur de leurs sentiments. Ce qui en fait un opéra très complexe d’un point de vue psychologique, qui pose de nombreuses énigmes sur l’Homme et sa nature. Verdi fait sauter le vernis des apparences pour interroger l’essence des individus et nous révéler leur intimité. Il en va de même dans le traitement de la relation père-fille. Le lien filial apparait dans plusieurs de ses œuvres, mais dans Simon Boccanegra il est plus réfléchi et élaboré.

Comment envisagez-vous les interactions entre la sphère privée et la sphère publique, qui ponctuent l’œuvre du début à la fin ?

À l’origine de la politique de concorde de Simon est l’amour de sa fille, mais aussi sa perte qui le pousse à chercher une harmonie perdue. Une quête qui s’avère malheureusement stérile… La tristesse du personnage résonne avec le monde actuel où la déception envers l’humanité est chaque jour palpable. En plus de transformer le texte de Gutiérrez, l’introduction dans le livret, par Arrigo Boito, de la lettre de Pétrarque appelant à la réconciliation confère à Simon une dimension humaniste. Son exhortation à la paix n’est finalement pas courante dans la bouche des politiciens, du temps de Verdi comme de nos jours.

Simon Boccanegra est une œuvre dans laquelle la mer est omniprésente. Cherchez-vous à donner à l’image maritime une résonance actuelle et politique ?

Pour Simon, la mer est synonyme de liberté. Or la crise des migrants nous rappelle chaque jour combien elle est aussi meurtrière. Mais ce n’est pas une thématique dont j’ai voulu me rapprocher. Ça ne me semblait vraiment pas opportun. J’ai avant tout cherché à explorer ce qu’il y a en Simon, ce que son esprit renferme comme souvenirs, rêves, cauchemars. Il a donc fallu imaginer un espace mental, un refuge, qui lui permet d’échapper à son chagrin, aux zones obscures de son âme, et de retrouver le sentiment de liberté autrefois procuré par la mer.

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