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Brünnhilde, la walkyrie affranchie - Entretien avec Tamara Wilson

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4:50 min

Brünnhilde, la walkyrie affranchie - Entretien avec Tamara Wilson

Par Marion Mirande

Fille de la déesse Erda et du dieu Wotan, élevée en combattante docile, la walkyrie Brünnhilde s’émancipe de son père après avoir découvert l’amour et éprouvé l’empathie.

Un rôle parmi les plus fins et puissants du répertoire de Richard Wagner, interprété par la soprano Tamara Wilson à l’occasion de la nouvelle production de La Walkyrie à l’Opéra Bastille.

Notre-Dame de Paris, du roman au ballet - Roxane Stojanov en répétition

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Notre-Dame de Paris, du roman au ballet - Roxane Stojanov en répétition

Par Antony Desvaux

À l’occasion de la reprise de Notre-Dame de Paris, un ballet créé il y a 60 ans par Roland Petit, Roxane Stojanov interprète le rôle d’Esméralda.

La danseuse Étoile évoque la manière dont elle travaille les personnages du roman imaginé par Victor Hugo avec ses partenaires Antonio Conforti (Quasimodo) et Thomas Docquir (Frollo).

Elle explique comment le langage chorégraphique de Roland Petit caractérise chaque personnage, et la façon dont le rôle d’Esméralda s’appuie sur un haut du corps contemporain et un bas du corps classique.

Elle évoque enfin la cathédrale elle-même, symbole historique de Paris, qui est peut-être le personnage principal du ballet.

© Collection Christophel

La Tétralogie et le cinéma

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Wagner, modèle et source d’inspiration pour le septième art

10 min

La Tétralogie et le cinéma

Par Laurent Guido

Avec son théâtre de Bayreuth, Richard Wagner avait-il, par anticipation, pensé le cinéma ? Souvent comparé au Gesamtkunstwerk wagnérien au titre de sa dimension totalisante, l’art cinématographique a régulièrement puisé dans la matière musicale et dramaturgique sans égal de L'Anneau du Nibelung. 

 « Le plus célèbre, le plus interprété, le plus exaltant, et le plus enregistré des cycles d’opéras » : ces mots élogieux sont tirés d’un discours publicitaire pour l’édition vidéo de L’Anneau du Nibelung de Richard Wagner au Metropolitan Opera de New York (2010-2012). Le même texte se targue, en outre, des centaines de milliers de personnes ayant assisté aux représentations de la Tétralogie, non seulement sur place, mais surtout dans les salles de cinéma du monde entier, via une diffusion satellitaire[1]. Cette insistance sur la transmission technologique de l’opéra wagnérien renvoie à l’un des objectifs des premiers promoteurs des industries audiovisuelles. Dès l’époque du pionnier Thomas Alva Edison, à la fin du XIXe siècle, l’éventualité de coupler les appareils d’enregistrement du son et de l’image a, en effet, alimenté le fantasme de proposer aux populations éloignées les spectacles urbains les plus prestigieux. Quant à la démonstration publique du procédé de film sonore Vitaphone, à New York le 6 août 1926, elle intervient cinquante ans exactement après la représentation complète de la Tétralogie, en 1876, pour l’inauguration du Festspielhaus de Bayreuth. L’agencement spécifique du dispositif wagnérien (obscurcissement, orchestre invisible, concentration vers “l’image scénique”, illusion de profondeur par l’avancement du proscenium…) préfigure d’ailleurs certaines caractéristiques de la salle de projection équipée de haut-parleurs.
Cette vision d’un Wagner “prophète” du cinéma[2] a marqué les réflexions esthétiques sur le médium filmique. Celles-ci se sont inspirées de la conception du Gesamtkunstwerk, telle qu’énoncée dans L'Œuvre d'art de l'avenir (1849) et Opéra et drame (1851), pour signaler l’apparition au cœur de la modernité technique et scientifique d’un grand « théâtre synthétique », opérant la « renaissance de la Tragédie »[3]. Faisant écho à la déconvenue éprouvée par Friedrich Nietzsche vis-à-vis de la mise en scène du Ring à Bayreuth[4], comme à certaines réserves du compositeur lui-même[5], ces théoriciens ont vu dans le cinéma un moyen de suppléer aux limites supposées de la représentation scénique. Comme le proclame en 1927 le critique Emile Vuillermoz, «… S’il était né une cinquantaine d’années plus tard, Wagner aurait écrit sa Tétralogie non pas pour un plateau, mais pour un écran. […] S’il avait pu manier à son gré les prestigieuses ressources de la vision animée, ce n’est pas un théâtre mais un cinéma lyrique que ce réformateur aurait construit à Bayreuth. »[6] Le cinéaste Abel Gance se fait pour sa part plus ironique : « Une nouvelle formule d'opéra naîtra. On entendra les chanteurs sans les voir, ô joie, et la Chevauchée des Walkyries deviendra possible. »[7] Selon cet argument – encore régulièrement avancé de nos jours, à l’heure du numérique –les techniques cinématographiques seraient à même de matérialiser les moindres nuances de l’imaginaire d’un poète-musicien rêvant, plus particulièrement dans la Tétralogie, de poursuites sous-marines, de chevauchées aériennes, de combats fantastiques, d’êtres devenant invisibles, ou encore de transformations progressives du décor. Mais le cinéma a surtout permis de servir l’idéal de stylisation dynamique qui a animé, au moins depuis les travaux d’Adolphe Appia, la plupart des rénovateurs de la scène wagnérienne. Comme en attestent les expérimentations d’un cinéaste comme S. M. Eisenstein (metteur en scène de La Walkyrie au Bolchoï, en 1940, et concepteur d’un montage “vertical” conjuguant étroitement les gestes musical et visuel), les procédés filmiques visent à fournir aux créateurs une vaste palette iconique, aussi subtile, malléable et poly-expressive que l’est déjà la matière musicale.

Les Nibelungen - la mort de Siegfried - Fritz Lang, 1924
Les Nibelungen - la mort de Siegfried - Fritz Lang, 1924 © Collection Christophel
Le modèle de l’opéra wagnérien a inspiré en profondeur les codes du grand spectacle cinématographique qui s’est mis en place, à l’époque muette, à travers des séances faisant appel à l’orchestre symphonique. La sortie des Nibelungen (Fritz Lang, 1924) représente à cet égard un événement majeur. Bien que conçu hors de la conception wagnérienne de la légende, ce film a été constamment rapporté à la Tétralogie lors de son exploitation internationale, où il a été accompagné par des extraits empruntés au maître de Bayreuth. Plus largement, la symbiose entre drame et musique, telle que réclamée par Wagner, a occupé une place de choix parmi les procédés narratifs qui n’ont cessé, jusqu’à aujourd’hui, de dominer la production de films. L’emploi du leitmotiv s’est ainsi imposé dans le système musical mis en place à Hollywood dans les années 1930-1940 par des compositeurs issus de la culture postromantique européenne (Erich Wolfgang Korngold, Max Steiner, Franz Waxman…)[8]. Un spécialiste français de Wagner, contemporain de ces compositeurs, s’enthousiasme pour leur travail : « … qui voudrait aujourd’hui analyser mesure par mesure la Tétralogie pour la comparer avec telle partition réussie de film d’action […] serait sans doute étonné de découvrir que la musique de Wagner est pour ainsi dire écrite pour le cinéma ».

Cette alliance entre idéalisme artistique et industrie culturelle, comme l’ont dénoncée les critiques les plus radicaux[9], s’est incarnée dans des blockbusters contemporains alliant ampleur narrative et grand spectacle, telles les franchises Star Wars (en cours, depuis 1977) et, plus directement encore, celle du Seigneur des anneaux (d’après Tolkien, 2001-2003). Non seulement les partitions symphoniques de ces productions au succès mondial recourent de manière fouillée au procédé du leitmotiv, mais leurs récits renvoient à l’imaginaire mythologique déjà actualisé par le Ring des Nibelungen[10].
Ce rapport des médias de masse à l’œuvre wagnérienne s’est aussi traduit par la fragmentation des opéras en « pièces détachées », c’est-à-dire la sélection en leur sein de Greatest Hits, sur le modèle traditionnel des pièces de concerts ou des partitions d’anthologie. De nombreux films ont en effet recouru à des extraits de la Tétralogie dans les contextes les plus divers (du drame au cartoon, en passant par le burlesque, le documentaire, la science-fiction…), afin d’offrir un contrepoint dramatique ou épique à l’action visuelle. En témoigne un plan mémorable de Birth (Jonathan Glazer, 2004), où le cadre se concentre longuement sur le visage de l’héroïne (Nicole Kidman), qui assiste à une représentation de La Walkyrie. Le Prélude tourmenté de l’acte I s’adapte à merveille à l’expression de son trouble intérieur, qui fait pourtant écho à des préoccupations personnelles complètement extérieures à l’orage musical qui se déchaîne hors champ.

Excalibur, John Boorman, 1981, avec Nigel Terry
Excalibur, John Boorman, 1981, avec Nigel Terry © Collection Christophel
Les harmonies poignantes et funèbres relayées par les morceaux les plus connus du Ring ont longtemps imposé un wagnérisme morbide, empreint d’une sombre solennité. Si certains ont cherché à s’approprier cette puissance sonore, d’autres l’ont réduite à une cinglante caricature idéologique, revenant inévitablement sur l’infâmante appropriation hitlérienne de Wagner. Ainsi la Trauermusik de Siegfried dans le Crépuscule des dieux a-t-elle été aussi bien associée au premier dirigeant de la Révolution soviétique dans Trois chants sur Lénine (D. Vertov, 1934), ou aux héros arthuriens d’Excalibur (John Boorman, 1981), qu’à l’attitude implacable d’officiers nazis dans la fiction américaine des années 1940 – où l’on faisait également un usage intensif du motif de Siegfried pour qualifier l’agresseur allemand, plus particulièrement dans les films de propagande signés Frank Capra. Au-delà de leur emploi moqueur à l’endroit du phénotype massif des héroïnes wagnériennes (de Bugs Bunny à Fellini), les accents entraînants et les vertus galvanisantes de la Chevauchée des Walkyries ont quant à eux ponctué la cavalcade du Ku Klux Klan dans The Birth of a Nation (D. W. Griffith, 1915), puis les raids d’aviation allemands et japonais dans les actualités de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale, avant de culminer d’une manière plus ambiguë – la musique étant diffusée par les protagonistes eux-mêmes – dans la célèbre scène d’attaque héliportée d’Apocalypse Now (F. F. Coppola, 1979).

Au-delà de telles connotations totalitaires, les références cinématographiques à Wagner ont également pu évoquer les fondements mythiques de ses drames musicaux. Mieux que tout autre, Hans-Jürgen Syberberg a cherché, dans ses écrits théoriques comme dans ses films, à questionner sans relâche les facettes multiples du grand compositeur afin d’en assurer la rédemption. Ses portraits complexes du roi Ludwig (1972) et de Hitler (1977) sont jalonnés d’extraits de la Tétralogie qui illustrent aussi bien la perversité emphatique des pouvoirs oppresseurs (la Marche funèbre de Siegfried, la descente au Nibelheim…) que la résurgence des idéaux romantiques dévoyés par le IIIe Reich comme par le matérialisme des sociétés capitalistes (le finale débordant de lyrisme du Crépuscule des dieux)[11]. Plus récemment, le Prélude de L’Or du Rhin a signalé, dans The New World (Terrence Malick, 2007), l’attitude ambivalente des premiers colons sur le sol américain, entre panthéisme romantique et conquête d’un territoire vierge. Quant à l’Entrée des dieux au Walhalla, du même opéra, elle marque dans Alien Covenant (Ridley Scott, 2017) le triomphe des prétentions au divin d’un être artificiel. Autant d’occurrences qui montrent combien la Tétralogie demeure influente dans l’imaginaire troublé du XXIe siècle, qu’il s’agisse de rappeler le poids de l’histoire ou de réfléchir aux enjeux propres à un avenir éminemment technologique.

[1]« Product Description » du coffret DVD et Blu-Ray paru chez Universal Classics.
[2]L’idée apparaît chez des auteurs comme Claude Lévi-Strauss ou Friedrich Kittler. Voir mon ouvrage De Wagner au cinéma. Histoire d’une fantasmagorie, Paris, Mimesis, 2019.
[3]Ricciotto Canudo, « La naissance d’un sixième Art[1911] », L’Usine aux images, Paris, Séguier-Arte, 1995, p. 34.
[4]F. Nietzsche, Le cas Wagner suivi de Nietzsche contre Wagner, Paris, Gallimard, 1991, p. 67.
[5]Sur la boutade de Wagner concernant la possibilité d’un « théâtre invisible », voir Carl Dahlhaus, L’idée de la musique absolue, Genève, Contrechamps éditions, 1997 [1978], p. 36.
[6]E. Vuillermoz, « La musique des images », L’Art cinématographique, III, 1927,pp. 53-57.
[7]A. Gance, « Le temps de l'image est venu! », Ibid.,p. 94, pp. 101-102.
[8]Jacques Bourgeois, « Musique dramatique et cinéma », Revue du cinéma, n° 10, février 1948, pp. 25-33.
[9] Theodor W. Adorno, Essai sur Wagner, Paris, Gallimard, 1966 [1962] et (avec Hanns Eisler), Musique de cinéma, Paris, L’Arche, 1972.
[10]La publicité pour l’édition vidéo de la Tétralogie du Met, mentionnée ci-dessus, n’hésite pas à décrire l’œuvre de Wagner comme “Le Seigneur des anneaux de la musique classique”! 
[11] Sur cet apport considérable à la réception de Wagner, ainsi que sur celui de Werner Herzog – qui utilise aussi des extraits du Ring dans plusieurs de ses films, en oscillant constamment entre ironie et sublime, voir mon livre Cinéma, mythe et idéologie. Échos de Wagner chez Hans-Jürgen Syberberg et Werner Herzog, Paris, Hermann, 2020.          

Dessine-moi Tosca

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Une minute pour comprendre l’intrigue

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Dessine-moi Tosca

Par Matthieu Pajot

Un paysage pasolinien sur lequel plane l’ombre écrasante d’une croix, symbole de la collusion des oppressions politique et religieuse : la lecture de Pierre Audi dépouille l’œuvre de ses habits d’apparat pour mettre à nu sa mécanique tragique parfaitement réglée, son horloge dramatique qui, du lever de rideau à la chute finale, se révèle d’une efficacité impitoyable.

En passant du théâtre à l’opéra, la pièce de Victorien Sardou devient le symbole même de l’art lyrique. Est‑ce parce que Tosca met en scène une cantatrice, dont la jalousie pèse lourd sur le destin de son amant ? La musique déborde le drame pour révéler la sensualité de son héroïne immortelle.

Le Ring c'est quoi ? #2

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Première journée : La Walkyrie

2:53 min

Le Ring c'est quoi ? #2

Par Octave

4 opéras, 34 personnages, 15 heures de musique... et 4 vidéos pour vous y retrouver !
À l’occasion des représentations de L’Anneau du Nibelung, dirigées par Philippe Jordan, le magazine Octave propose une série de vidéos pour découvrir chacune des pièces de cette immense traversée musicale. Afin de tout connaître, ou presque, du prologue, L’Or du Rhin, et des trois journées, La Walkyrie, Siegfried et Le Crépuscule des dieux.

Dessine-moi Les Noces de Figaro

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Une minute pour comprendre l’intrigue

1:45 min

Dessine-moi Les Noces de Figaro

Par Matthieu Pajot

Les Noces de Figaro compte parmi les opéras les plus emblématiques du répertoire. Brahms en parlait comme d’un « miracle » et la plainte de la Comtesse résonne encore aujourd’hui comme une des pages musicales les plus déchirantes.

En reprenant la comédie de Beaumarchais qui fut à l’origine d’un scandale qui mit en émoi toute la société parisienne, Mozart et Da Ponte s’assuraient leur réussite. La pièce avait même été interdite par Joseph II en 1785 au Théâtre de Vienne. Devait-elle trop exposer sur le devant de la scène les contradictions d’un régime déjà vacillant, prêt à sombrer avec la Révolution française ?

La production de Netia Jones conserve l’essence même de la pièce de Beaumarchais en questionnant avec humour mais non sans espièglerie les rapports humains, dans une production qui vient confondre réalité et fiction au point de se demander, comme le Comte : « Jouons‑nous une comédie ? ».


Toï toï toï : Racines

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Rencontre avec le chorégraphe Mthuthuzeli November et le Directeur de la Danse José Martinez

1:30:47 min

Toï toï toï : Racines

Par Isabelle Stibbe

À l’occasion de l’entrée au répertoire de son ballet Rhapsodies, le chorégraphe sud-africain Mthuthuzeli November s’entretient avec José Martinez, directeur de la danse, pour évoquer sa formation, son parcours en tant qu’interprète et son travail de transmission en studio avec les danseurs de l’Opéra.

Pour la deuxième saison consécutive, l’Opéra national de Paris propose des rencontres mensuelles avec des artistes afin d’éclairer les œuvres, quelques jours avant le début du spectacle. Intitulés Toï toï toï, ces moments privilégiés à l’Amphithéâtre ou au Studio de l’Opéra Bastille sont l’occasion pour tous les publics de se familiariser avec les nouvelles productions ou le répertoire de l’Opéra de Paris, et d’échanger avec les artistes à la fin de chaque rencontre.

Le style de Balanchine - Bleuenn Battistoni et Thomas Docquir en répétition

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4:17 min

Le style de Balanchine - Bleuenn Battistoni et Thomas Docquir en répétition

Par Antony Desvaux

À l’occasion du spectacle Racines programmé à l’Opéra Bastille, le ballet Thème et Variations de George Balanchine rend hommage à l’enfance du chorégraphe, baignée de Tchaïkovski et Petipa.

Bleuenn Battistoni et Thomas Docquir évoquent les spécificités du style néo-classique balanchinien, comme sa musicalité ou encore la prise des pirouettes qui diffère de l’école française, et la manière dont ils s’approprient ce langage en studio.

La danseuse Étoile et le Premier danseur soulignent également l’intensité physique de la chorégraphie qui représente le défi principal à relever en tant que partenaires.

Rhapsodies, une série de portraits

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Mthuthuzeli‎ November en répétition

4:50 min

Rhapsodies, une série de portraits

Par Antony Desvaux

À l’occasion du spectacle Racines programmé en octobre 2025 à l’Opéra Bastille, Rhapsodies de Mthuthuzeli‎ November fait son entrée au répertoire.

Le chorégraphe retrace son parcours de Cape Town en Afrique du Sud jusqu’à l’Opéra de Paris, et revient sur sa découverte de la danse classique après avoir pratiqué la danse de rue et la danse africaine.

En studio avec les danseurs, il remonte sa pièce qu’il présente comme une série de portraits, d’instantanés, accompagnés par la célèbre Rhapsody in blue de George Gershwin.

Dessine-moi Giselle

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Une minute pour comprendre l’intrigue

1:15 min

Dessine-moi Giselle

Par Octave

Ballet romantique par excellence, Giselle marque l’apogée d’une nouvelle esthétique. Tutus vaporeux, gaze blanche, tulle et tarlatane envahissent la scène. Dans la transfiguration fantastique d’une tragédie, les Wilis participent à l’illusion de l’immatérialité. Créé à l’Académie royale de Musique le 28 juin 1841, le ballet voyage en Russie et disparaît du répertoire avant son retour en France en 1910. C’est aujourd’hui dans la version de Patrice Bart et d’Eugène Polyakov, fidèle à la chorégraphie originelle de Jean Coralli et Jules Perrot, que le ballet continue de confirmer ses premiers succès. Scènes lumineuses et terrestres, visions nocturnes et spectrales : la danse devient langage de l’âme et la ballerine par sa présence aérienne semble triompher de la pesanteur.  

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